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À Propos

Bertrand Mathieu est professeur émérite de l’Université Paris1- Panthéon-Sorbonne ; Président émérite de l’Association française de droit constitutionnel ; Ancien Conseiller d’Etat (S.Ex.) ; Ancien membre du Conseil supérieur de la magistrature et membre de la Commission de Venise du Conseil de l'Europe

Ses Contributions

article imagePolitique
Disproportion6 mois de prison avec sursis pour avoir déposé des lardons devant une mosquée : la volonté d'éviter un embrasement collectif justifie-t-elle une telle sévérité ?

La peine prononcée à l'encontre d'un charcutier lorrain pour avoir déposé des lardons dans la boîte aux lettres d'une mosquée, quelques heures après l'attentat contre l'église de Saint-Etienne-du-Rouvray, semble excessive en comparaison avec la réponse pénale apportée actuellement aux auteurs d'actes terroristes sur le territoire national.

avec Bertrand Mathieu
article imagePolitique
Choc post-traumatiqueRéforme constitutionnelle : Valls et Hollande contraints de se convertir à la prudence après avoir tenté l'action à tout-va

Il est loin le temps de la stratégie d'union nationale qui justifiait des décisions rapides. Avec le retour des élus PS frondeurs, le gouvernement et François Hollande ont du composer, et avancer avec plus de prudence alors que le contenu de la réforme constitutionnelle doit être dévoilé aujourd'hui.

avec Bertrand Mathieu
article imagePolitique
Révision difficileInscription de la déchéance de nationalité et de l’état d’urgence dans la Constitution : la réforme qu’il faudra avoir le courage d’éviter

Plusieurs sondages ont montré qu'une majorité de Français plébiscitent l'inscription de l'état d'urgence et de la déchéance de nationalité dans la Constitution. Flou juridique et utilité douteuse d'inscrire dans le marbre des mesures existantes sont pourtant des arguments lucides pour y être opposé.

avec Bertrand Mathieu
article imageEconomie
Réaction en chaîneAffaire Bygmalion : Nicolas Sarkozy pourrait-il être contraint de payer 11 millions d'euros au Trésor public ?

Une circulaire du 7 janvier 2008 établit que dans le cas où un dépassement du plafond des dépenses électorales a été constaté, le candidat doit rembourser la différence au Trésor public. Que se passerait-il si, comme l'affirme l'avocat de Bygmalion, 11 millions d'euros de prestations étaient en réalité à imputer à la campagne de l'ancien président de la République ?

avec Didier MausetBertrand Mathieu

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