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Elisabeth Borne lors d'une conférence de presse.Politique
RÉTRO-PÉDALAGE Maternelle : la fausse bonne idée de Borne

En affirmant que les élèves doivent commencer à se projeter dans un métier « dès la maternelle », Élisabeth Borne a déclenché une vague de réactions critiques. Face à la polémique, la ministre de l’Éducation nationale a rapidement fait marche arrière, illustrant la délicate frontière entre ambition pédagogique et absurdité technocratique.

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article imageEducation
Bonnes feuilles"Requiem pour l'Education nationale" : "le niveau monte..."

Patrice Romain publie "Requiem pour l'Education nationale - Un chef d'établissement dénonce : parents et professeurs doivent savoir !" aux éditions du Cherche Midi. L'institution Éducation nationale se lézarde chaque jour un peu plus : la belle et grande idée républicaine – même instruction, donc mêmes chances dans la vie – est devenue une utopie. L'auteur dénonce un laxisme scandaleux et révèle des pratiques peu avouables. Extrait 1/2.

avec Patrice Romain
article imageFrance
Bonnes feuillesComment l'Education nationale massacre l’orientation des élèves au nom d'un égalitarisme forcéné... et en sacrifiant les enfants des classes moyennes

La démagogie et l’hypocrisie sont les deux mamelles de la déséducation nationale. C’est peu de dire que l’école se porte mal. Elle constitue la principale caisse de résonance d’un malaise qui la dépasse et qui gangrène la société. Elle souffre surtout d’une entreprise de destruction massive orchestrée par une administration ministérielle aux mains d’idéologues pédagogistes qui ne sont pas seulement de naïfs Trissotins. Extrait du livre "Témoin de la déséducation nationale" de Jean-Noël Robert aux éditions Les Belles Lettres (2/2).

avec Jean-Noël Robert
article imageEconomie
Plus = mieux ?Boom du nombre d’étudiants à l’horizon 2024 : cette réorganisation de l’enseignement supérieur qui pourrait éviter une pression supplémentaire sur les finances publiques

L'enseignement supérieur devrait accueillir 335 000 étudiants supplémentaires en 2024 par rapport à 2014. Un chiffre qui interroge sur les capacités d'accueil des structures de cet enseignement, mais également sur l'absorption de ces futurs diplômés par le marché du travail.

avec Boris Ménard