La majorité des étudiants, attirée par les perspectives d'évolutions et une mobilité facilitée, veut entrer dans une grande entreprise à la sortie de ses études. Mais la concurrence est grande.
8 octobre 2016Le Réseau Atlantico
Best-Of du 2 au 8 novembre
Boris Ménard est chargé d'études au Céreq (Centre d'études et de recherches sur les qualifications). Il est spécialiste de l'analyse des trajectoires scolaires et de l'insertion des sortants de l'enseignement supérieur, et membre du Groupe de Travail sur l'Enseignement Supérieur (GTES).
Ses dernières publications : Les jeunes diplômés de bac+5 s’estiment-ils compétents pour occuper leurs emplois? (C Calmand, J., Giret, J.-F., Lemistre, P. & Ménard, B., in Bref, Céreq, n°340, 4p., 2015) et Faire des études supérieures… Et après? (C Calmand, J., Ménard, B. & Mora, V. in Notes Emploi Formation, Céreq, n°52, 60p., 2015).
La majorité des étudiants, attirée par les perspectives d'évolutions et une mobilité facilitée, veut entrer dans une grande entreprise à la sortie de ses études. Mais la concurrence est grande.
L'enseignement supérieur devrait accueillir 335 000 étudiants supplémentaires en 2024 par rapport à 2014. Un chiffre qui interroge sur les capacités d'accueil des structures de cet enseignement, mais également sur l'absorption de ces futurs diplômés par le marché du travail.
Le classement de Shanghai, publié le 17 août 2015, classe les meilleures universités du monde.