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Le groupe américain Meta, qui possède Facebook, Instagram et WhatsApp, a annoncé lundi 16 septembre interdire aux médias d'État russes d'accéder à ses plateformes dans le monde entier, pour éviter toute «activité d'ingérence étrangère».

Mark Zuckerberg a admis que l'administration Biden a fait pression pour qu'il censure plusieurs contenus au moment du Covid. Le fondateur de Facebook tente de faire croire aux utilisateurs des réseaux sociaux qu’il « ne ferait pas » la même erreur aujourd’hui.

Un juge américain a estimé que Google était en situation de monopole et qu'il avait utilisé cette position dominante pour renforcer sa position sur le marché.

Le 23 juillet, Mark Zuckerberg a publié un manifeste exposant les arguments commerciaux en faveur de l'IA open source.

Derrière les algorithmes de l'intelligence artificielle se cachent des biais idéologiques et politiques qui ont de lourdes conséquences au sein de la société.

Le PDG et son équipe ont encouragé les efforts de Meta pour attirer les jeunes utilisateurs et ont trompé le public sur les risques, selon les poursuites engagées par les procureurs généraux des États.

Pour la Commission européenne, Meta n’offre pas un réel choix aux internautes et se trouve en infraction avec le Digital Markets Act.

L’application de messagerie Whatsapp, propriété de Meta, est l'une des plus populaires du monde.

Facebook fait évoluer sa politique de confidentialité, afin d'entraîner son intelligence artificielle sur les données de ses utilisateurs. Instagram est également concerné. Instagram, qui appartient également au groupe Meta, est aussi concerné.

Selon une enquête, Facebook aurait utilisé son outil VPN pour espionner Snapchat, Youtube et Amazon dans le but de rivaliser plus efficacement avec ses concurrents. Des dizaines de millions d'utilisateurs ont potentiellement été espionnés.

Réunis au sein de l'Association des médias d'information (AMI), ils accusent le géant du web d’avoir enfreint de façon « systématique et massive » la « législation européenne en matière de protection des données ».

La fin du mois d'octobre a pratiquement remis les compteurs à zéro dans le monde survolté des nouvelles technologies. Les GAFAM restent les locomotives de la croissance mondiale, mais leur essoufflement présage un ralentissement durable de l'activité.

Le géant américain entend ainsi se conformer à la législation européenne sur les données personnelles et la publicité ciblée.

Dans cette affaire, il est reproché à Meta (Instagram et Facebook) d'avoir « dissimulé la façon dont ces plateformes exploitent et manipulent les consommateurs les plus vulnérables ».

Plusieurs facteurs expliquent la lassitude de certains utilisateurs face aux réseaux sociaux.

Sous la pression des autorités européennes, Meta envisage de proposer un abonnement payant aux utilisateurs de Facebook et Instagram pour une offre premium.

Les études menées sur l’impact des réseaux sociaux aboutissent à des conclusions parfois très contradictoires. Pourquoi les scientifiques ne parviennent pas à trouver de consensus en la matière ?

En guise de protestation à une nouvelle loi obligeant ces réseaux sociaux à payer les éditeurs, les réseaux sociaux de la maison-mère Meta, Instagram et Facebook, ont commencé mardi 1er août à bloquer au Canada les contenus liés aux médias.

Le réseau social est confronté à des dettes importantes et à la diminution par deux de ses revenus publicitaires, selon Elon Musk.

Le métavers développé par Mark Zuckerberg peine à séduire les internautes. Horizon Worlds ne parvient pas à attirer un grand nombre d'utilisateurs.