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Pour certains, un vendredi 13 est signe de malheur. D’autres y voient des opportunités.

Le Zoom de Jean-Paul Betbeze

La parlement français se divise en trois blocs, sans qu'aucune majorité ne se dégage. Qu'en pense la bourse ?

Le système économique français est entré dans une phase d'incertitude qui risque de bloquer complètement son fonctionnement : sur l'activité, les investissements, les financements, l'emploi... 

De nos jours, il est de bon ton de s’offusquer de l’enrichissement des actionnaires. Même les libéraux n’osent pas les défendre ouvertement. Pourtant, si David McLean a raison, la recherche de profit des actionnaires bénéficierait à toute la société.

Les bourses ont terminé des deux côtés de l’Atlantique dans une euphorie historique et durable. Alors que les pessimistes dominent l’espace médiatique, et que les dictatures se battent contre le système libéral capitaliste, quel pied de nez ! D’autant que les moteurs de la bourse sont aujourd’hui les épargnants particuliers du monde entier.

Les derniers chiffres boursiers sont au plus haut. S'agit-il d'une bulle ?

La semaine dernière s’est terminée dans l’euphorie boursière à New York, Paris, Londres… Du jamais vu, même au plus chaud des crises spéculatives. Cette euphorie divise le monde en deux blocs, très loin des clivages idéologiques ou religieux. L’innovation technologique sera toujours plus forte qu’une dictature militaire.

Nous commençons en France cette nouvelle année avec 6 milliards d'euros de budget manquants. Que va-t-il se passer ?

Alstom, Téléperformance et ArcelorMittal, c’est le pronostic du tiercé gagnant dans l’ordre sur la bourse en 2024. La prévision boursière est le travail quotidien des analystes financiers... Ils se trompent parfois mais pas toujours... Pour 2023, ils avaient vu juste...

Malgré les bouleversements géopolitiques et les incertitudes politiques, la situation économique va établir trois records historiques : celui de la création d'entreprises, des cours de l'or et de la bourse.

Le mois de septembre s'ouvre sur un faisceau d'inquiétudes qui annoncent des krachs sur tous les fronts : boursier, monétaire, commerce extérieur, Chine, politique, émergents, climat. Une rentrée d'automne aura rarement été aussi incertaine et compliquée.

Les grandes entreprises françaises ont privilégié davantage leurs actionnaires que leurs salariés dans la redistribution de la valeur ajoutée depuis 2018, selon l'ONG Oxfam, qui dénonce une "déconnexion", dans un rapport publié ce lundi.

Le champion du monde des puces électroniques nécessaires à l’intelligence artificielle est entré dans le club très fermé des entreprises qui capitalisent plus de 1000 milliards de dollars mais doit se défendre de quasi- sorcellerie.

Les médias gratuits, qui s’appuient principalement sur la publicité pour générer des revenus, sont les plus exposés au contexte économique de ralentissement de la croissance.

Warren Buffett a réuni ses actionnaires, comme il le fait chaque année, pour leur annoncer qu’ils étaient encore plus riches que l’année précédente, mais surtout pour dispenser ses conseils et sermonner les régulateurs du système financier.

Le fait le plus marquant de la semaine restera l’envolée historique des marchés financiers alors que la vie politique et sociale s’enfonce dans l’incertitude et la violence. Deux mondes qui cohabitent. L’un euphorique et l’autre dans la désolation.

Dans un communiqué , Tupperware a déclaré que ses actions risquaient d'être radiées de la Bourse de New York car elle n'avait pas encore déposé son rapport annuel.

Il s’agit de la recension du livre de Jean-Yves Archer intitulé « Les économistes face à la notion d’ignorance chez Diderot ».