D'après une étude publiée dans le journal Brain, il existerait un code génétique lié au fait d'être gaucher.
12 septembre 2019Le Réseau Atlantico
Best-Of du 2 au 8 novembre
Pierre Roubertoux est professeur de génétique et de neurosciences à Marseille. Il a créé et dirigé le laboratoire "Génétique, neurogénétique, comportement" du CNRS et a travaillé au laboratoire "Génomique fonctionnelle, comportements et pathologies" du CNRS, à Marseille. Il mène aujourd'hui ses recherches au sein du laboratoire de génétique médicale de l'Inserm. Ses travaux sur la découverte de gènes liés à des comportements lui ont valu le prix Theodosius Dobzhansky, aux États-Unis.
D'après une étude publiée dans le journal Brain, il existerait un code génétique lié au fait d'être gaucher.
En 1996, un groupe de chercheurs européens a découvert qu'un certain gène, appelé SLC6A4, pouvait influencer le risque de dépression d'une personne. Mais une nouvelle étude menée par des chercheurs de l'Université du Colorado montre qu'il n'y a aucune preuve valable de la causalité entre ce gène et la dépression.
Depuis plusieurs années, les connaissances des chercheurs en matière de protéines permettent d'envisager une révolution de la médecine.
Une étude menée par l'université britannique de Cambridge conclut à une corrélation, chez l'Homme, entre la génétique et l'empathie.
Les chercheurs tentent de rapprocher les comportement violents et prédisposition depuis la deuxième moitié du XIXème siècle. Ces études ont donné des résultats, mais une distinction est observée entre tendance et passage à l'acte.
Un groupe de chercheurs anglais a publié dans le numéro de février de la revue Molecular Autism un rapport sur un test expérimental permettant de détecter l'autisme
Deux groupes de chercheurs du MIT et de Harvard ont fait un pas en avant dans la modification de l'ADN pour guérir les maladies génétiques. Pour autant remplir la promesse de bientôt guérir plus de 15 000 de ces maladies paraît plutôt ambitieuse.
Au-delà des simples gènes hérités de ses propres parents à la naissance, un individu est composé d'une véritable mosaïque de virus et de bactéries.
Si la communauté scientifique s'est largement intéressée aux effets de la pollution atmosphérique sur la santé, le nombre de lieux communs en la matière subsistent. Voici quelques réponses pour démêler le vrai du faux.
26 juin 2015Si l'étude des gènes, à travers la cytogénétique, n'a été permise que dans les années 30, les scientifiques tentent de rapprocher comportement violents et prédisposition depuis la deuxième moitié du XIXème siècle. Une recherche qui a donné des résultats, mais qui observe une distinction entre tendance et passage à l'acte.
La composante génétique de l'autisme se confirme. De récentes avancée ont montré qu'elle n'est pas liée qu'aux parents : des mutations spontanées peuvent également survenir au stade embryonnaire.
Selon une étude américaine publiée récemment, une centaine de gènes seraient impliqués dans les troubles autistiques, contre 9 comme nous le pensions jusqu'alors.
Des généticiens finlandais ont identifié deux gènes associés à la violence criminelle. Si l'on parvenait effectivement à prouver l'existence d'un tel gène, la société aurait deux façons de l'interpréter.
Pendant longtemps, on a pensé que seul le comportement de la mère lors de la grossesse pouvait impacter la santé de son futur enfant. Pourtant, il semble que le comportement du père tienne également un rôle important. D'autant plus après la naissance.
Certains sont tout le temps malades et d'autres non. Nous sommes a priori inégaux d'un point de vue génétique. Le pourquoi du comment avec le Professeur Pierre Roubertoux.
Une étude récemment menée par une équipe de chercheurs américains sur des souris a montré que des événements traumatisants pouvaient avoir une influence sur leurs gènes, et avoir une influence sur le cerveau et le comportement de leur descendance.