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Le président russe a ordonné ce samedi à ses troupes d’observer un cessez-le-feu en Ukraine pour Pâques, jusqu’à la nuit de dimanche à lundi

Les signaux faibles se multiplient : l’administration Trump semble se désintéresser du sort de l’Ukraine et prête à céder sur de nombreux points à la Russie. Donald Trump et ses proches ont la volonté d’en finir en Ukraine, montrant leur envie de signer « une paix », peu importe comment et peu importe les termes.

L'émissaire du président américain Donald Trump, Steve Witkoff, a affirmé lundi 14 avril, trois jours après une nouvelle rencontre avec Vladimir Poutine, que le président russe souhaitait une « paix durable » en Ukraine.

Volodymyr Zelensky a fait état dimanche d'au moins 34 morts et 117 blessés dans des frappes menées par la Russie.

Au moment ou l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, va rencontrer le président russe Vladimir Poutine ce vendredi 11 avril à Moscou, le président américain enjoint son homologue russe à accepter la trêve validée par Kiev.

Le secrétaire d’État américain a participé à une réunion de l’OTAN à Bruxelles.

Aleksandr Douguine, l'idéologue du Kremlin, estime que les Etats-Unis de Trump partageaient de nombreux points communs avec la Russie de Poutine. Il a également appelé à la libération de la "princesse" Marine Le Pen.

Contrairement à l'Empire romain dans l'Antiquité, officiellement divisé en deux moitiés, occidentale et orientale, le monde occidental n'a pas encore été divisé en deux, trois ou quatre.

Donald Trump, qui a récemment opéré des rapprochements inattendus avec la Russie de Vladimir Poutine, se dit désormais très en colère contre le Kremlin. Ce qu’il faut retenir.

La déconstruction de l’ordre mondial n’est pas durable. Mais elle va obliger les chefs d’entreprises et les partis politiques à trouver des solutions alternatives pour répondre aux dysfonctionnements imputables à l’économie mondiale.

Le dirigeant russe souhaite l'arrivée au pouvoir en Ukraine « d'un gouvernement compétent et qui aurait la confiance du peuple », pour « commencer avec ces autorités des négociations sur un accord de paix ».

Ce changement de politique accéléré constitue une étape importante vers une « égalité totale des sexes », selon le ministre de la Défense, Troels Lund Poulsen.

Donald Trump souhaite séparer la Russie de l’influence de la Chine. Le président américain estime que Joe Biden a commis une erreur en poussant Pékin à se rapprocher de Moscou.

Une trentaine de dirigeants étaient réunis le jeudi 27 mars à Paris autour de Volodymyr Zelensky, le président de l’Ukraine. Un format ad hoc destiné à rassembler la « coalition des volontaires » voulue par le couple franco-britannique afin de soutenir l’effort de guerre ukrainien et de préparer les garanties de sécurité à l’issue de la signature d’un éventuel traité de paix. Ont notamment été discutées les questions des « forces de réassurance » et du rôle de l’Europe, en l’absence des Etats-Unis avec qui les conclusions du sommet ont été partagées. Pour en parler, Raphaël Chauvancy, qui s'exprime en son nom personnel.

Moscou a dénoncé ce jeudi la « militarisation » de Mayotte et a accusé Paris de contrôler « illégalement » l’archipel après la récente annonce d'un renforcement de la présence militaire française dans le département d’outre-mer.

« Si quelqu’un devait se tromper et penser qu’il peut s’en tirer avec une attaque contre la Pologne ou tout autre allié, il serait confronté à toute la force de cette alliance farouche. Notre réaction sera dévastatrice », a déclaré Mark Rutte, secrétaire général de l’Otan.

En soutenant vigoureusement la proposition de paix de Donald Trump, Volodymyr Zelensky a ramené l'attention sur Vladimir Poutine.

Le chef de l'Etat a tenu à apporter son soutien à Kiev après l'attaque aérienne russe « massive » qui a visé l'Ukraine.

Les dirigeants des 27 États membres de l’UE étaient réunis jeudi à Bruxelles pour un sommet consacré au soutien à l’Ukraine, aux conditions d'un accord de cessez-le-feu temporaire avec la Russie et aux orientations du Livre blanc sur la défense qui sera publié par la Commission européenne.

Aussi à la Une de vos hebdos cette semaine : L’empire réac énerve Marianne, Le Nouvel Obs pontifie sur la crise du logement, et Challenges a beau chercher comment faire des économies, il en revient au modèle suédois, qui a ramené en 10 ans son déficit public de 69 à 49% du PIB et de dégager un excédent budgétaire tout en maintenant la croissance.