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En négligeant l’importance stratégique du secteur de l’électroménager, l’UE risque de compromettre ses objectifs en matière d’innovation, de durabilité et de résilience économique.

Ursula von der Leyen, après avoir mis en place un Green Deal européen, semble désormais adopter une approche à la Elon Musk : agir vite, casser les normes, et limiter la consultation.

Bruxelles sera-t-elle capable de reconnaître ses erreurs ou continuera-t-elle à s'accrocher à un récit qui ne tient plus la route ?

Dans le cadre de la Conférence sur la sécurité de Munich, le vice-président des États-Unis, J.D. Vance, a vivement critiqué les pays de l’Union européenne sur la stratégie en Ukraine et sur de nombreux autres sujets.

Les décisions de politique étrangère devraient être réservées aux États membres, mais les traités de l’UE ne signifient pas grand-chose pour la Commission hyper-centralisée d’Ursula von der Leyen.

A Davos, Ursula von der Leyen a prononcé un discours concernant la feuille de route de l'Europe pour les 5 années à venir. Elle a identifié plusieurs enjeux, parmi lesquels l'IA, la nécessité pour le Vieux Continent de travailler à son indépendance énergétique mais aussi le besoin de prendre en main son destin.

Un magnifique contraste éclaire le monde ces derniers jours. D’un côté, les parangons de l’éthique, des « valeurs » (nous cherchons encore lesquelles), d’une autre voie, à priori, vu la tournure des choses, on doit parler de la voie de garage…. De l’autre, l’outrance, l’ambition, la rapidité, une volonté quasi indécente de régner sur le monde, d’en devenir le seul propriétaire ou au moins l’un des deux principaux. D’un côté, la tête d’enterrement de ceux qui ont renoncé, de l’autre le regard triomphant de ceux qui savent et veulent.

Le forum de Davos, qui a reçu en visio le président américain, a plutôt rassuré les chefs d’entreprise, les milieux financiers, monétaires et boursiers que les dirigeants politiques.

François Villeroy de Galhau pense que cette manne « abondante » permettrait d’investir dans la transition climatique et numérique.

Non seulement, certains dirigeants européens semblent-ils prêts à restreindre sévèrement la liberté d’expression mais ils ignorent soigneusement les racines du déclin européen comme celles du mépris affiché par l’administration pour la souveraineté européenne.

Le Conseil européen s’est tenu ce vendredi à Bruxelles.

La transition énergétique, imposée par l’Allemagne avec la complicité des institutions européennes comme une voie vers un avenir sans énergies fossiles, est aujourd’hui confrontée à une crise de confiance parmi les investisseurs. Plusieurs événements récents mettent en lumière ce scepticisme croissant, soulignant les limites des énergies renouvelables et l’importance cruciale des énergies fossiles dans notre société contemporaine. Mais Emmanuel Macron fait semblant de ne pas le savoir.

Ayant déjà fait sauter Michel Barnier sur le Budget, la France insoumise va tenter de faire tomber la Commission européenne sur le Mercosur. Ça risque d’être moins fastoche.

Les réticences exprimées par les agriculteurs comme par les Français sont éminemment compréhensibles au regard du volume de désinformation et de la volonté de masquer les vraies responsabilités politiques de la crise agricole.

« Nous continuerons de défendre sans relâche notre souveraineté agricole », a indiqué la présidence française alors que la présidente de la Commission européenne est arrivée ce jeudi en Uruguay.

L’Espagnol cède sa place de Haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité à l’estonienne Kaja Kallas.

Le groupe des députés Insoumis avait prévu l’examen dans sa niche parlementaire du 28 novembre d’une proposition de résolution visant à refuser le traité avec le Mercosur.

Trop d’impôts d’un côté, trop de dépenses publiques sociales de l’autre, la Commission de Bruxelles, qui a déjà mis la France sous surveillance, considère qu’elle ne réussira pas à présenter le budget de rééquilibrage qui lui avait été présenté par Michel Barnier.

Ursula von der Leyen a annoncé vouloir une nouvelle législation sur les questions migratoires tout en suggérant même de réfléchir à des dispositifs inspirés de l’accord entre Italie et Albanie. Mais le droit européen le permettrait-il ?

Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, a adressé une lettre aux États membres de l’UE pour leur annoncer "une nouvelle proposition de législation".