Bonnes feuillesEt arriva 1968 et la fin de l'école vue comme un héritage : la "déséducation" nationale pouvait commencerLa démagogie et l’hypocrisie sont les deux mamelles de la déséducation nationale. C’est peu de dire que l’école se porte mal. Elle constitue la principale caisse de résonance d’un malaise qui la dépasse et qui gangrène la société. Elle souffre surtout d’une entreprise de destruction massive orchestrée par une administration ministérielle aux mains d’idéologues pédagogistes qui ne sont pas seulement de naïfs Trissotins. Extrait du livre "Témoin de la déséducation nationale" de Jean-Noël Robert aux éditions Les Belles Lettres (1/2).
29 décembre 2017