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Histoire1 juin 2015
Charles Platiau / Reuters
article cover © Charles Platiau / Reuters
Réforme des programmes

"En voulant supprimer le latin, on cherche à faire de nous des penseurs dociles, peut-être parce qu’on gouverne mieux des imbéciles."

Après la publication du décret de la réforme du collège et alors que la circulaire d’adaptation est encore en débat, plusieurs spécialistes reviennent sur ce que peuvent apporter l’étude du grec, du latin, du Moyen-Âge et des Lumières. Aujourd’hui, entretien avec Jean-Noël Robert, latiniste et historien de Rome.

"En voulant supprimer le latin, on cherche à faire de nous des penseurs dociles, peut-être parce qu’on gouverne mieux des imbéciles."