Contenus en rapport avec le mot-clé inégalités de revenus

Contrairement à ce qu'en dit une partie de la gauche, la France, en faisant la part belle à son système de redistribution, n'a pas vu le niveau des inégalités augmenter.

Depuis 2015, la lettre d'information féministe Les Glorieuses calcule une date à partir de laquelle les femmes commenceraient à « travailler gratuitement ». La Première ministre a repris dans un tweet la date du 4 novembre cette année et souhaite réparer cette injustice.

Alors qu’il détient les plus importantes réserves de pétrole au monde et pourrait en être l’un des États les plus riches, le Venezuela n’en est pourtant que le 10e producteur. Et son économie est dans un état catastrophique.

Critiquée sur plusieurs points depuis sa formulation, la théorie de Thomas Piketty expliquant l'accroissement des inégalités vient d'être remise en cause par une récente étude menée par un économiste du FMI. Deux hypothèses semblent poser problème : celles de la rentabilité du capital et du taux d'épargne.

En choisissant leurs lieux d'habitation en fonction des établissements scolaires, les parents aisés renforcent les inégalités de revenus géographiques. C'est tout cas ce que prouve une étude réalisée outre-Atlantique.

D'après Branko Milanovic, ancien directeur de la recherche économique auprès de la Banque mondiale, la mondialisation s'est faite au détriment des classes moyennes occidentales, quand elle a profité aux plus riches.

La baisse des revenus des plus aisés conjuguée à la hausse des revenus des plus démunis a effacé la totalité de l’augmentation des inégalités depuis 2008.

Les inégalités de revenus ont fortement diminué pendant les Trente Glorieuses. Avec la globalisation, les travailleurs les moins qualifiés des pays occidentaux ont subi la concurrence directe des pays émergents. Un phénomène accentué aujourd'hui par la robotisation et qui pose le défi immense de la profitabilité du développement économique pour tous.

Après avoir passé un an à "réformer" la France pour rétablir la croissance, l'égalité doit désormais être au cœur de la politique du Président. Pourtant, loin d'en être une suite logique, les inégalités de revenus devraient au contraire se creuser tant que le chômage ne sera pas à un niveau proche du plein emploi, c'est à dire 3%. Ceux des cadres en revanche, peu disponibles sur le marché du travail, devraient connaître une progression.

Selon une étude publiée par l’OCDE, l’accroissement des inégalités serait une source du ralentissement de la croissance. En réalité, faible croissance et inégalités sont deux phénomènes qui s'auto-alimentent.

Les inégalités de revenus constituent le risque économique le plus probable et l'un des plus préoccupants des dix prochaines années, selon le Forum économique mondial de Davos qui s'ouvre aujourd'hui.

Outre-Manche, Boris Johnson a récemment fait part de l'obsolescence de ce que l'on appelle "la lutte contre les inégalités" qui est selon lui révélatrice d'une conception erronée des rapports sociaux. L'occasion de relancer un débat déjà vieux, mais qui n'a toujours pas trouvé de réponses...

En quarante ans, les inégalités de revenu ont été réduites entre les différents pays du globe et jamais autant de personnes n'ont gagné l'équivalent de 10 dollars par jour. Néanmoins, à l'échelle d'un même pays, elles se sont exacerbées.

Le ministre de l'Ecologie Philippe Martin a déclaré hier mercredi selon l'AFP que le diesel conserverait son avantage fiscal sur l'essence.

Dans les pays de l'OCDE, les inégalités de revenus se sont davantage creusées sur les trois années allant de 2008 à la fin de 2010 que pendant les douze années précédentes, selon un rapport de l'OCDE publié au mois de mai.

Dans un article publié sur La Tribune, une auto entrepreneur déclare "Je gagne mieux ma vie qu’en étant simple salariée". Une telle chose est techniquement possible, mais semble concerner une frange très limitée. Quid de la majorité d'entre eux ?

La baisse du plafond du quotient familial choisie par le gouvernement va entraîner une hausse d'impôts pour 12% des ménages avec enfants.

En 2011, les foyers parisiens ont déclaré en moyenne 37 764 euros de revenus, soit 14 000 euros de plus que la moyenne nationale.