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La Chine renforce ses forces dans la mer de Chine orientale et se préparerait à encercler ces îles revendiquées par l'Empire du milieu.

L'hostilité des relations sino-japonaises a plusieurs sources : l’héritage de la Seconde Guerre mondiale, les différends maritimes autour des îles Senkaku-Diaoyu... mais c'est surtout la montée en puissance de la Chine qui alimente les tensions.

En s'assurant la majorité à la chambre haute du Parlement nippon, le Premier ministre Shinzo Abe est maintenant en mesure de réformer la Constitution imposée par les Américains au sortir de la Seconde Guerre mondiale.

La Chine s'affirme et n'hésitera plus à utiliser la force. Par la voix de son président, Xi Jinping, elle a adressé un message clair aux pays tentés de franchir les lignes rouges qu'elle a fixées. Pour sa défense comme pour la renaissance de la nation chinoise, son armée a reçu l'ordre d'être "prête au combat". Extrait de "La Chine : une menace militaire ?" (2/2).

La Chine s'affirme et n'hésitera plus à utiliser la force. Par la voix de son président, Xi Jinping, elle a adressé un message clair aux pays tentés de franchir les lignes rouges qu'elle a fixées. Pour sa défense comme pour la renaissance de la nation chinoise, son armée a reçu l'ordre d'être "prête au combat". Extrait de "La Chine : une menace militaire ?" (1/2).

Cinq îles et trois rochers inhabités de seulement 7 km² sont à l’origine d’un conflit de souveraineté qui dure depuis plusieurs décennies entre la Chine et le Japon. La tension est montée d’un cran depuis la création d’une Zone aérienne d’identification par Pékin.

Nouveau round dans les tensions entre Pékin et Tokyo en mer de Chine orientale : huit navires chinois ont approché les iles de Senkaku, revendiquées par les deux pays.

Alors que le Japon et la Chine se sont engagés dans un bras de fer diplomatique au sujet des îles Senkaku, le nouveau Premier ministre japonais, Shinzo Abe, a choisi la semaine dernière pour son premier voyage à l'étranger de se rendre en Asie du Sud-Est, un choix qui n'est pas anodin.

La Chine et le Japon se disputent toujours les îles Senkaku-Diaoyu. Ce mercredi matin, les autorités chinoises ont affirmé qu'elles ne reculeraient pas et que ces territoires étaient "sacrés" pour elle.

Le conflit entre la Chine et le Japon perdure. Ce mardi matin, des navires au pavillon taïwanais pour la plupart se sont postés à proximité des îles Senkaku.

Deux navires de surveillance chinois ont pénétré lundi matin dans une zone considérée par le Japon comme ses eaux territoriales.

Il a suffi que le 14 septembre 2012 six navires appartenant au ministère du Territoire et des ressources naturelles chinois se soient approchés à 22 km de l'archipel inhabité dénommé Diaoyu par la Chine et appelé Senkaku par le Japon pour déclencher une grave crise des relations sino-japonaises.

Les violentes manifestations anti-japonaises en Chine peuvent être le dernier accès de nationalisme chinois en date, mais les blogueurs y lisent beaucoup plus. Une manipulation du gouvernement chinois, actuellement en proie à une lutte interne pour le pouvoir suprême, qui lui aurait peut-être échappé.

La Chine et le Japon se disputent les îles Diaoyu/Senkaku. La tension monte. Ce mardi, des milliers de Chinois sont à nouveau descendus dans la rue dans plusieurs villes du pays.

Le populiste Shintaro Ishihara, gouverneur de Tokyo, a annoncé que la capitale japonaise allait racheter des îlots de la mer de Chine orientale, appelés Senkaku en japonais et Diaoyu en chinois. Ces petites îles inhabitées, contrôlées de fait par Tokyo, sont revendiquées par les deux pays, ainsi que par Taïwan.