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En première instance, en septembre 2021, l'ancien président de la République avait été condamné à un an de prison ferme.

Près de mille magistrats vont être appelés à changer de poste en septembre. Le ministre de la Justice aurait notamment eu une influence sur le cas du juge d’instruction Serge Tournaire, qui a travaillé sur des affaires, notamment Bygmalion, impliquant Nicolas Sarkozy, d'après des informations du Monde.

Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP lors de la campagne présidentielle de 2012, n'a pas été condamné dans le cadre du procès sur le financement de la campagne de Nicolas Sarkozy. Il était l’invité de RTL ce vendredi 1er octobre.

Nicolas Sarkozy a été condamné jeudi 30 septembre à une peine d’un an de prison ferme pour le financement illégal de sa campagne électorale de 2012, dans le cadre de l’affaire dite Bygmalion. Cette décision s'inscrit-elle dans une logique de politisation de la justice ?

Un an de prison dont six mois ferme ont été requis contre Nicolas Sarkozy, dans le cadre du procès Bygmalion. De 18 mois à quatre ans de prison avec sursis ont par ailleurs été requis contre les 13 coprévenus de Nicolas Sarkozy. L'ancien chef de l'État est jugé, ainsi que treize autres personnes, devant le tribunal correctionnel de Paris pour les dépenses excessives de sa campagne présidentielle de 2012.

Nicolas Sarkozy est auditionné, ce mardi 15 juin, au tribunal correctionnel de Paris, où il est poursuivi pour « financement illégal de campagne » dans le cadre de l'enquête sur le financement de sa campagne présidentielle en 2012.

La cour d'appel de Paris a annoncé ce jeudi le renvoi de Nicolas Sarkozy devant un tribunal correctionnel dans le cadre du dossier Bygmalion. Les "affaires" ont-elles encore une réelle influence auprès des citoyens ?

L'ancien chef de l'Etat compte bien contester cette décision devant la Cour de cassation.

L'ancien copéiste, impliqué dans l'affaire Bygmalion, votera pour le candidat d'En Marche !

Treize autres personnes sont aussi concernées et devront donc comparaître devant un tribunal correctionnel.

L’ancien chef de l'Etat pourrait être renvoyé devant le tribunal correctionnel pour le délit de financement illégal de campagne électoral.

Plusieurs avocats n'avaient pas été convoqués à l'audience, a annoncé la cour d'appel de Paris.

"Vous êtes très sourcilleux pour les droits des terroristes, soyez aussi sourcilleux pour les miens" a notamment lancé le candidat à la primaire de la droite et du centre.

Dans le cadre de l'affaire Bygmalion, le parquet de Paris a requis le renvoi en correctionnel de Nicolas Sarkozy et de l'ensemble des personnalités mises en examen. Retour sur l'étrange relation que l'ancien président entretient avec la magistrature.

Selon le Canard Enchaîné, l'ancien président de la République aurait menacé d'annuler sa venue à la nouvelle émission politique de France 2, dont il doit être le premier invité le 15 septembre.

En meeting à Poissy, le candidat à la primaire se pose en victime et se dit déterminé à surmonter cette "épreuve."

Le Monde a eu accès au réquisitoire du vice-procureur de Paris, Nicolas Baietto.

Mediapart a eu accès à la synthèse d'un rapport, fourni aux juges d'instruction, qui détaille ces dépenses. "Il y avait davantage de frais occultes que de frais déclarés", assure le site d'information dirigé par Edwy Plenel.

A moins d’un coup de théâtre, le juge Van Ruymbeke devrait renvoyer en correctionnelle l’ancien président de France-Télévisions, Patrick de Carolis, pour favoritisme. Son ancien secrétaire général, Camille Pascal, et Bastien Millot, fondateur de Bygmalion, devraient l’accompagner.

Après la mise en examen pour financement illicite de campagne de Nicolas Sarkozy dans l’affaire Bygmalion, la guerre repart entre ce dernier et Jean-François Copé. Voilà qui devrait réjouir Alain Juppé, candidat aux primaires des Républicains en novembre prochain.