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Mais aussi l’urbaine chic de l’été, la vache des alpages suisses, le triple saut de minuit, les salons de la rentrée et le recyclage post-capitaliste…

Mais aussi les rochers de Capri en mode aluminium, une « plongeuse » française qui ne débloque pas sa couronne, un concentré d’avant-garde constructiviste et un acier vieilli d’explorateur vétéran…

Mais aussi la roulette qui plairait à James Bond, l’or recyclé d’une nouvelle icône, les vingt bougies d’un chronographe, les couleurs d’une pomme numérisée et la montre de l’été…

Mais aussi les huit pans du néo-chic très chic, la dureté nacrée d’une pierre corse, l’acier embossé d’une sportive chic, la cour des grands qui s’agrandit et le retour annoncé d’un maître-horloger…

Mais aussi une plongeuse chic dans sa livrée noire, une nouvelle architecture à moins de mille mètres d’altitude, quelques nuances de bleu qui se règlent au couteau, une rétronostalgie digitale, une fusée dans un musée et un tourbillon en apesanteur…

Mais aussi une certaine idée du chic à la française, des couleurs aux codes de la mode, la transparence comme principe de vertu, un vaisseau circumpolaire dans le vent et l’année des pendules…

Mais aussi des heures à fleur de peau, une « plongeuse » qui fait faire des affaires, un fermoir qui sait la boucler, un calendrier calé pour 179 ans, des montres bien repérées par Atlantic-tac et un réveil qui se pare d’écaille de tortue…

Mais aussi les heures grainées qu’on déconstruit, le basculement d’une montre, les douze mascottes qui tambourinent, les bracelets du recyclage et le mauve évadé de Yakoutie…

Mais aussi une odyssée de l’espace en biocéramique colorée, une montre-outil pour un été chic au sec et un poney au galop pour habiller le poignet…

Mais aussi un double mystère qui fait la roue, la minceur élégante d’une silhouette, une plongeuse monogrammée et un millésime horloger bien adjugé…

Mais aussi quelques aristocratiques bijoux de la Renaissance, des finitions 705 fois superlatives, un éclairage totalement recyclé, des mariés qui prennent le volant et un maillot jaune qui change de montre…

Mais aussi les vrais vainqueurs horlogers du Vendée Globe, la providence des « cœurs brisés » et la Daytona de collection qu’on se met dans le crâne…

Mais aussi un squelette dans un boîtier fumé, une montre suisse qui retard de cinq ans, une pièce unique en bleu lavande et le culte parisien de la lumière…

Mais aussi le chronographe plus inrayable que le diamant, le record de profondeur resté inviolé depuis quinze ans, l’écaille de tortue qui fait voyager et l’aventure sans tricherie d’une baroudeuse vintage…

Mais aussi le chic sportif en transhumance, les pistons et les cylindres d’un bloc-moteur horloger, la baroudeuse qui bronze la céramique et la touche féminine d’une architecture classique…

Mais aussi les clous dorés d’un nouveau Paris horloger, l’instrument vintage de ceux qui préfèrent les djebels urbains, les « villains » qui ont le tort de ne pas aimer Batman et les premières victimes horlogères du coronavirus chinois…

Mais aussi, en direct de Baselworld et d’ailleurs, une montre d’alchimistes portés sur le cuivre, un goût très français pour les montres sur mesures, des heures satellitaires qui irradient dans la nuit et les élégantes rondeurs d’un certain Tom Ford…

Mais aussi un compteur de bord qui s’installe au poignet, un coussin vintage à deux compteurs, un instrument professionnel en bonze patiné et des coquilles d’œuf pour défier le temps qui passe…

Mais aussi le retour en treillis vert d’une icône de la plongée militaire, la montre qui fait partir à l’heure les trains de l’été, les pointes orangées du grand art chronographique et le minimalisme génétique tel qu’on pratique le dans les vallées saxonnes…

Mais aussi des heures qui orbitent dans leur nacelle pendant soixante minutes, de la lumière mécanique pour illuminer le temps qui passe, une "plongeuse" bleu pâle sur bleu profond et 100 000 occasions de repenser la montre autrement…