Mais aussi le retour estival d’une icône vintage, un sautoir musical de grand luxe, une lumière qui se lève en Orient, des statistiques piteuses, des valses managériales et une montre « présidentielle »…
19 juillet 2024Le Réseau Atlantico
Best-Of du 14 au 20 septembre
Grégory Pons est né en 1952. Journaliste français (CFJ) passionné d'horlogerie, il est une des rares professionnels européens à s'être spécialisé dans l'analyse de cette industrie et dans la création de nouveaux supports horlogers pour le grand public.
En plus de nombreuses interventions dans la presse magazine, il a mis en place Business Montres & Joaillerie, « médiafacture d’informations horlogères depuis 2004 », un site unique au monde par son concept de « quotidien des Montres » 0 % publicité-100 % liberté. Il est basé à Genève, pays des montres, des lacs alpins et de la démocratie.
Mais aussi le retour estival d’une icône vintage, un sautoir musical de grand luxe, une lumière qui se lève en Orient, des statistiques piteuses, des valses managériales et une montre « présidentielle »…
Mais aussi le tourbillon des vingt ans qui souffle ses trente bougies, les douze danseurs d’une nouvelle nation horlogère, la légèreté orange d’un plaisir estival, le rendez-vous de la rentrée et la Breguet de M. le comte…
Mais aussi une légende pré-iconique de notre temps, une aventurine lunaire qui sait y faire, une aventurière sous un dôme, un régime « coup de poing » amincissant et des statistiques inquiétantes…
Mais aussi une aubaine électro-mécanique en style vintage, une précieuse distinction toute en rose, une montre réglementaire quintessentielle, des cyberpirates menaçants et une escale de grande luxe…
Mais aussi une séduisante discrétion horlogère (très suisse), une alternative apaisée, une « plongeuse » requalifiée, un David qui a vaincu Goliath et un chronographe de mémoire…
Mais aussi un tonneau qui va du maillot de bain au costume, une aiguille orange comme autrefois, un sourire qui s’arrondit à six heures, des chaises musicales et une montre à jeter de la tour Eiffel…
Mais aussi une plongeuse qui compte pour trois, un « retour en vol » pour les amateurs japonais, une élégance urbaine par mille mètres de profondeur et une fée verte américaine…
Mais aussi une cathédrale qui carillonne au poignet, des cubes qui changent le style d’un cadran, une « plongeuse » restylée, des enchères médiocres et une règle à calcul circulaire…
Mais aussi une bouquet de couleurs bien reformulé, une vision latérale de la conduite, l’impertinence pétillante du rose, les caprices d’une star et la transparence en habit rouge…
Mais aussi d’autres bonnes nouvelles, comme le retour de la casquette automatique, comme l’invention de la montre radiophonique, comme le bloc d’or des mâles alpha ou comme le régulateur de l’homme aux doigts d’or…
Mais aussi une « plongeuse » d’émeraude très accessible, un chronographe contemporain restylé à l’ancienne, une élégante rhabillée de platine, des petits Martiens qui débarquent, des salons qui déçoivent et des statistiques qui désolent…
Mais aussi une sobriété mécanique parfaitement maîtrisée, une « plongeuse » encore jamais vue, la gentille Martine qui s’accroche aux poignets, des salons horlogers, une quête de la précision et un nouvel « ovni » de poignet…
Mais aussi une Méduse en frise grecque, un écrou plein de cailloux, une mécanique volante qui dérange, une légende revisitée, des statistiques en berne et un Snoopy sélénite…
Mais aussi une forteresse indépendante, le style intemporel d’une maison de mode, une tête de mort qui joue la transparence, une aviatrice tricolore, des chiffres qui inquiètent et une révision esthétique aéro-pilotée…
Mais aussi la nouvelle précision d’une seule aiguille, le blanc plus blanc que blanc d’une légende, une Lune un peu naïve, un obusier à sauver, des montres prêtées-volées et un record aux enchères…
Mais aussi des inspirations iconoclastes, des « plongeuses » certifiées sous pavillon suisse, une Lip très churchillienne, des valises lunaires et un Popeye tatoué à dos de camélidé…
Mais aussi l’argent noir d’un chronographe de tradition, le premier galop d’une mosaïque, un nouveau patriotisme horloger, une nostalgie cinquantenaire et un anneau magique qui peut tout changer…
Mais aussi une preuve de la créativité indépendante française, un Grand prix au bon prix, une imparable recette italienne, une plongeuse très urbaine et un salon à ne pas manquer…
Mais aussi un grande simplicité sportive, une surfeuse bronzée, une inspiration automobile, un abus de dragons et une grand prix qui en dit long…
Mais aussi une montre qu’Elvis Presley aurait pu adorer, une montre qui cache une grande logique dans son enchevêtrement mécanique, les moustaches d’un grand 8 dragonesque et des statistiques en trompe-l’œil…