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Alors qu’il a reçu des milliards d'euros de subventions européennes, ArcelorMittal ne pourra pas produire économiquement de l’acier fabriqué à base d'hydrogène vert et devrait probablement s’approvisionner en Chine ou aux Etats-Unis.

Alstom, Téléperformance et ArcelorMittal, c’est le pronostic du tiercé gagnant dans l’ordre sur la bourse en 2024. La prévision boursière est le travail quotidien des analystes financiers... Ils se trompent parfois mais pas toujours... Pour 2023, ils avaient vu juste...

Le groupe sidérurgique avait annoncé début novembre la mise à l'arrêt temporaire d'un des deux hauts-fourneaux.

Patrick Artus et Marie-Paule Virard publient « La dernière chance du capitalisme » aux éditions Odile Jacob. Le capitalisme néolibéral, dont la nature a beaucoup évolué depuis les années 1980, est en sursis. Perçu comme injuste et inégalitaire, il nourrit colère et rancœurs. Il se révèle inefficace en créant de moins en moins de croissance. Faut-il en finir et changer radicalement de système ? Extrait 2/2.

A Florange, si les hauts fourneaux "n'ont pas été rouverts, il n'y a eu aucun licenciement, des investissements massifs sont lancés et le site crée de nouveaux emplois", s'est justifié le chef de l'Etat.

Il conduira la liste socialiste aux élections européennes de 2014 dans la circonscription du Grand Est.

Le président retourne ce jeudi sur le site lorrain d'ArcelorMittal. Une visite politique à haut risque qui intervient cinq mois après la fermeture des hauts fourneaux.

Bruxelles a demandé à au PDG d'ArcelorMittal de geler la fermeture des sites en attendant un plan destiné à relancer la sidérurgie. Mauvaise évaluation de la demande, erreurs de stratégie... Existe-t-il des failles dans le pays du groupe Mittal ?

Arnaud Montebourg a confirmé ce vendredi qu'il avait bien failli démissionner après le désaveu de Jean-Marc Ayrault sur le dossier Florange.

Le producteur européen d’acier va réouvrir un haut fourneau fermé en août, à la faveur d’une "légère reprise technique".

Une pétition intitulée "L'Acier lorrain vivra", signée par près de 28 000 personnes et demandant la nationalisation du site d'ArcelorMittal de Florange, doit être remise à l'Elysée avant le 15 janvier par une délégation de l'usine.

Si nationaliser les entreprises en difficulté n'est pas une solution pour la France, il appartient néanmoins aux pouvoirs publics de leur insuffler un nouveau dynamisme.

La mesure pourrait rapporter au sidérurgiste 36 millions par an. De quoi faire économiser en six ans les fameux 180 millions promis.

Mittal s'est engagé à investir 180 millions d'euros sur 5 ans pour éviter la nationalisation ou le cession du site dans son intégralité.

Le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, a assuré jeudi qu'une éventuelle nationalisation du site sidérurgique de Florange n'aggraverait pas le déficit de la France.

Le futur président de la Banque publique d'investissement, Jean-Pierre Jouyet, a ainsi fermé la porte à tout soutien potentiel à l'aciérie ArcelorMittal.

Le groupe a par ailleurs annoncé qu'il accordait deux mois aux pouvoirs publics pour trouver un industriel susceptible de reprendre les deux hauts-fourneaux, l'aciérie et la cokerie.

Le géant de l'acier a annoncé officiellement la fermeture de l'usine lorraine de Florange, lors d'un comité central d'entreprise ce lundi.

C’est ce qu’a déclaré dimanche soir le ministre du Redressement productif, alors que le géant de l'acier, ArcellorMittal, doit annoncer la fermeture du site ce lundi.

Alors que le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, plancherait sur une loi obligeant un industriel à céder une usine viable promise à la fermeture d'ici trois mois, Mittal pourrait laisser l'Etat chercher un repreneur pour ses hauts fourneaux.