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Gabriel Attal avait donc 100 jours pour s’installer, tout comme Emmanuel Macron. Pour les chefs d’entreprise, ce mythe des 100 jours est une aberration managériale, voire même une stupidité. Les conditions d’exercice du pouvoir se préparent bien avant et délivrent les promesses bien après.

Après avoir procédé à un remaniement, le chef de l’Etat répondra aux questions des journalistes Jacques Legros et Nathanaël de Rincquesen dans le journal de 13 heures du lundi 24 juillet.

Bruno Retailleau accuse Emmanuel Macron d’avoir prolongé le quoi qu’il en coûte lors de la phase des 100 jours. Les Républicains ont listé les dépenses engagées.

Tel est le diagnostic judicieux de Jean-Louis Debré.

Le vice-président du Rassemblement national à l’Assemblée a critiqué la politique et le bilan d’Emmanuel Macron face à la situation du pays.

Le chef de l’Etat a voulu décréter l'apaisement plutôt que de le construire. Il a depuis été rattrapé par une dure réalité…

Le président de la République a reçu l’ancien Premier ministre à l'Elysée, lundi à l'heure du déjeuner. Cette rencontre intervient alors que la rumeur d’un remaniement gouvernemental refait surface à l’approche de la fin de la période des 100 jours pour Elisabeth Borne.

Le "volet constitutionnel" des deux textes déposés par la droite "qui remet en cause le principe de notre adhésion à l'Union européenne", a dénoncé la présidente de l'Assemblée nationale.

Alors qu’on a reproché à la réforme des retraites à la fois d’être injuste et de manquer d’ambition, Emmanuel Macron a tenté de redonner une cohérence à son action. Les Français sont-ils prêts à l’écouter ?

En présentant sa feuille de route, la Première ministre a pris en compte les contraintes que lui impose l’absence de majorité, pas forcément ce que le président lui-même avait affiché comme priorités lors de ses dernières interventions.

La Première ministre a présenté ce mercredi sa feuille de route pour les cent prochains jours. Le projet de loi sur l’immigration n’y figure pas.

Ne vous inquiétez pas, ça va être court.

La situation est de plus en plus inextricable. Le chef de l’État s’est donné 100 jours pour restaurer une légitimité politique. Les chefs syndicaux ne se rendent pas compte qu’ils ont besoin de légitimité pour actionner les ressorts de la démocratie sociale.

Mais dans 100 jours, où en serons-nous vraiment ?

Sa popularité a connu une progression spectaculaire

Après avoir été surpris par la détermination d’un président longtemps présenté comme endormi et très centriste, certains éditorialistes américains commencent à nouveau à se poser des questions.

Alors que le président Macron est installé à l'Elysée depuis 100 jours, un climat de scepticisme est tombé sur la France. Tout un chacun, macroniste ou non, ne reconnait pas l'habileté du candidat, qui semble s'être dissoute

Ca sent la fin de l’état de grâce. A peine est-il en marche pour fêter ses 100 premiers jours de pouvoir que le président de la République se retrouve confronté à une opinion publique déçue et à une majorité qui bégaie.

Pour les investisseurs en actions américaines les 100 premiers jours du nouveau président américain Donal Trump auront été très fastes : près de 12% depuis l’élection et plus 5% depuis l’investiture effective le 20 janvier.

En meeting en Pennsylvanie, le président américain a boudé le dîner des correspondants de la presse à Washington.