Au quotidien, les Français sont pillés, menacés, harcelés, par une myriade de micro-gangs, d'usage issus des zones hors-contrôle du territoire ; voire venus, parfois de très loin, piller notre pays.

Le ministre suédois de la justice a prévenu que l'éradication de la vague de crimes violents dans le pays prendrait au moins une décennie, les gangs de trafiquants de drogue immigrés ayant infiltré les tribunaux, la police et les prisons.

Les mauvaises nouvelles s'accumulent sur le front de la drogue, dans la réalité des faits.

Emmanuel Macron, qui joue les méchants face à la Russie (17 millions de km2), ne sait comment faire régner l'ordre chez lui, sur pas même 15 000 km2.

Après la multiplication du nombre de morts dans la métropole méditerranéenne, c’est désormais Grenoble que le Parquet de la ville décrit comme en proie à une « guerre des gangs intense ».

La vie des bandits n'est pas rose tous les jours ; certes lucrative, elle reste périlleuse, incertaine : on apprécie d'avoir des amis dans les hautes sphères.

"Corneille peint les hommes comme ils devraient être ; Racine les peint tels qu'ils sont". Si finement psychologique, cet aphorisme de La Bruyère a fini en sujet du Bac. De même pour les bourgeois-anars de LFI qui, aveugles idéologiques, ignorent ce que sont les lascars des cités hors-contrôle et leurs caïds.

Ces récents jours, le président Biden (cité par les principaux médias du pays) se dit fier d'être "La première femme noire élue vice-présidente des États-Unis" ; et promet peu après de "Battre Donal Trump... en 2020".nie

Sans relâche, scrutons le réel criminel ; ce que la population subit vraiment, au quotidien, et qu'une médiasphère aux abois camoufle - toujours plus mal - comme autant de méprisables "faits divers" suscitant un puéril "sentiment d'insécurité".

Le président de la République dit redouter des troubles si le RN ou le NFP arrivaient au pouvoir. En tant que garant du fonctionnement régulier des institutions, a-t-il pris les mesures nécessaires pour y faire face ?

Fondateur du parti communiste italien puis opposant à Staline, le révolutionnaire italien Amadeo Bordiga, (qui savait de quoi il parlait), disait déjà dans l'entre-deux guerres : "le pire produit du fascisme, c'est l'antifascisme".

La police allemande a neutralisé dimanche un homme avec une hache près d’une fan zone à Hambourg. La veille, elle abattait un réfugié afghan ayant agressé des fans de football. À l’approche des législatives et des Jeux Olympiques, à quel type de risque la France est-elle exposée ?

Certaines formules hantent pour l'éternité ceux qui les ont prononcées ; parfois, pas besoin même qu'elles soient vraies : suffit qu'à un moment, elles aient trop bien collé au personnage. Marie-Antoinette, reine de France et son (apocryphe) "Qu'ils mangent de la brioche" face au peuple criant qu'il n'a plus de pain - cette seule phrase l'aura envoyée à l'échafaud.

Drogue illicite à usage récréatif, l'ectasy pourrait bientôt être commercialisé aux États-Unis comme un médicament pour traiter certains troubles mentaux.

Parlons ici des "Atteintes volontaires à l'intégrité physique" (agressions, etc.) : où en est-on ? Comment cela évolue-t-il ?

Concernant la guerre en Ukraine comme à Gaza, le pire ennemi des armées occidentales est sûrement l’aveuglement.

Cinq personnes, se revendiquant antifascistes, suspectées de violences contre un avocat toulousain et des membres de mouvements d'extrême droite, ont été présentées à un juge d'instruction jeudi 16 mai en vue de leur mise en examen.

Le Sénat publie une série de propositions chocs pour lutter contre le "Tsunami blanc" qui frappe aujourd'hui la France. Cette dernière n'est pas le seul pays à avoir du mal à faire face au trafic de drogue.

En septembre 2021, le président Macron fanfaronne sur la lutte contre la drogue dans la zone hors-contrôle Bassens (Marseille 15e), village-Potemkine auparavant briqué et sécurisé : "On ne lâchera rien... On va cogner là où il faut cogner... la fermeture des points de deal est irréversible...".

Les ravages sont peu dénoncés par les médias stipendiés qui ne réagissent qu'à certains sti­muli, en mode capacité de nuisance.