Ce n'est pas pour autant qu'il faut adhérer au programme d'Emmanuel Macron : la droite doit proposer le projet volontariste dont la France a besoin. Mais la première étape est donc de ne pas voter pour Marine Le Pen au second tour.
5 mai 2017Le Réseau Atlantico
Best-Of du 2 au 8 novembre
Nora Berra est une femme politique, députée européenne de la circonscription Sud-Est, Secrétaire d'Etat à la Santé.
Elle est aussi médecin.
Ce n'est pas pour autant qu'il faut adhérer au programme d'Emmanuel Macron : la droite doit proposer le projet volontariste dont la France a besoin. Mais la première étape est donc de ne pas voter pour Marine Le Pen au second tour.
Alain Rousset, président de l'ARF (Association des régions de France) et Jean-Marie Leguen, député de Paris ont dénoncé le manque de modernité du système de santé français. Une position qui, selon la Secrétaire d'État chargée de la santé Nora Berra, ne prend pas en compte les progrès réalisé notamment par le biais de l'e-santé.
Le leader du Front de gauche grignote ne cesse de progresser dans les sondages et montre en creux les failles de la campagne socialiste.
Un rapport publié jeudi dernier suggère de rendre la contraception gratuite pour les mineures. Nora Berra est montée au créneau pour critiquer cette proposition. La Secrétaire d’État chargée de la Santé craint notamment qu'une telle mesure ne déresponsabilise les parents.
Michel Sapin, responsable du projet et Manuel Valls, de la communication, ont tardé a accordé leurs violons ce mardi sur la réforme du quotient familial annoncée par François Hollande. Un épisode qui rappelle les atermoiements sur le projet socialiste de fusion entre l'impôt sur le revenu et la CSG.
Tribune de Nora Berra sur les difficultés de la France à conserver son triple A. La Secrétaire d’État chargée de la Santé revient sur le rôle des agences de notation dans la crise actuelle et souhaite que notre pays sorte enfin de leur "diktat".
La secrétaire d'Etat à la santé était devant sa télé pour regarder Nicolas Sarkozy dans son intervention face à Yves Calvi et Jean-Pierre Pernaut au lendemain du sommet européen sur le sauvetage de l'euro