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À Propos

Jean-Pierre Chevènement est un homme politique.

Président de la Fondation Res Publica, il est également président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen

Le 22 mai 1981, il est nommé ministre d'État, ministre de la Recherche et de la Technologie. Il démissionne le 22 mars 1983 pour protester contre la « parenthèse libérale » et lance sa célèbre phrase : « Un ministre, ça ferme sa gueule ; si ça veut l'ouvrir, ça démissionne ».

Le 19 juillet 1984, nommé ministre de l'Éducation nationale, il occupe cette fonction jusqu'en mars 1986. Il rétablit à cette occasion l'enseignement de l'éducation civique, alors abandonné depuis 1969.

Nommé le 13 mai 1988, ministre de la Défense des gouvernements Rocard I et II, il démissionne le 29 janvier 1991 pour protester contre l'engagement de l'armée française dans la guerre en Irak.

En 1992, il fait campagne contre la ratification du traité de Maastricht, puis, critiquant la « dérive gestionnaire » des socialistes, il quitte le PS en 1993 et transforme le Mouvement des Citoyens (fondé en 1992) en parti politique, dont il prend la présidence.

 

Le 4 juin 1997, il est nommé ministre de l'Intérieur du gouvernement Jospin.Il est l'un des défenseurs d'une « politique sécuritaire de gauche », S'opposant notamment au garde des Sceaux, Élisabeth Guigou, sur la question de la mise en détention des jeunes délinquants, et mettant en place la police de proximité. En désaccord avec le plan de Lionel Jospin sur l’avenir de la Corse, Jean-Pierre Chevènement démissionne le 29 août 2000.

Ses Contributions

article imageEconomie
Entretien politiqueJ-P Chevènement : "Prenons au sérieux les gens de Daech qui veulent que la France se déchire. Le "choc des civilisations" qui paraissait très improbable s'est rapproché de nous"

Le bateau France navigue en eaux troubles depuis quelques années. Profitant de sa longue expérience politique, Jean-Pierre Chevènement propose une nouvelle grille de lecture, un nouveau cap, tout en se demandant s'il y a un capitaine prêt à donner ce grand coup de barre dont la France et l'Europe ont besoin.

avec Jean-Pierre Chevènement
article imagePolitique
Bonnes feuillesLa laïcité doit-elle prendre des cours de religion ?

Les attentats terroristes et le spectre de la guerre civile nous ont pris à l’improviste. La France se découvre un ennemi qu’elle n’avait pas vu venir et qu’elle peine d’ailleurs à définir. Jean-Pierre Chevènement dessine la carte d’une confiance retrouvée. Le bateau France n’a besoin que d’un cap : un projet politique qui soit aussi un projet de civilisation. Extrait de "Un défi de civilisation", de Jean-Pierre Chevènement, aux éditions Fayard 2/2

avec Jean-Pierre Chevènement
article imageEurope
Bonnes feuillesQuand l'Europe a des airs d'Autriche-Hongrie à la veille de la Première Guerre mondiale

Les attentats terroristes et le spectre de la guerre civile nous ont pris à l’improviste. La France se découvre un ennemi qu’elle n’avait pas vu venir et qu’elle peine d’ailleurs à définir. Jean-Pierre Chevènement dessine la carte d’une confiance retrouvée. Le bateau France n’a besoin que d’un cap : un projet politique qui soit aussi un projet de civilisation. Extrait de "Un défi de civilisation", de Jean-Pierre Chevènement, aux éditions Fayard 1/2

avec Jean-Pierre Chevènement
article imageEurope
Entretien politiqueJean-Pierre Chevènement : "Nous sommes l’un des pays fondateurs de l’Europe et même le pays fondateur par excellence. Cela nous donne un devoir de responsabilité pour la suite"

En retrait pendant la campagne pour le référendum britannique, l’ancien ministre revient sur la réaction à tenir face à une Europe bousculée. Si pour lui une Europe de la défense n’est pas réalisable, il appelle à une révision des traités de l’Union.

avec Jean-Pierre Chevènement

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