L’agriculture est malade, c’est un euphémisme que de le dire ; le désespoir gagne les campagnes, conduisant parfois à l’acte sans retour ; la colère n’est plus en devenir, elle est là ! Les réactions violentes, les symboles que l’on veut fort, l’appel au secours peut-il changer quelque chose ? Non, la solution est ailleurs, elle est à se prendre en main, comprendre un monde en mutation et contribuer à le bâtir, avec deux ingrédients majeurs : l’innovation et le collectif.
28 février 2016