La guerre idéologique et la guerre de légitimité qui font rage à l'UMP sont inhérentes au fonctionnement de ces partis attrape-tout qui ont vocation à rassembler toute une frange de l'électorat.
2 juin 2013Le Réseau Atlantico
Best-Of du 2 au 8 novembre
Alexandre Vatimbella est le directeur de l’agence de presse LesNouveauxMondes.org qui est spécialisée sur les questions internationales et, plus particulièrement sur la mondialisation, les pays émergents et les Etats-Unis.
Il est également le directeur du CREC (Centre de recherche et d’étude sur le Centrisme). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages (dont Santé et économie, Le Capitalisme vert, Le dictionnaires des idées reçues en économie, Le Centrisme du Juste Equilibre, De l’Obamania à l’Obamisme).
La guerre idéologique et la guerre de légitimité qui font rage à l'UMP sont inhérentes au fonctionnement de ces partis attrape-tout qui ont vocation à rassembler toute une frange de l'électorat.
L'UDI, le nouveau parti de centre-droit, se lance à l'assaut du pouvoir. L'ambition affichée de Jean-Louis Borloo : supplanter l'UMP. Mais quelle est la nature de son offre politique ?
Ségolène Royal revient sur le devant de la scène en publiant un livre : "Cette belle idée du courage". L'ancienne candidate à l’élection présidentielle serait l'invitée du 20 h de TF1 ce dimanche soir. Mais pour dire quoi ?
Les études d'opinion montrent que tous les opposants du gouvernement profitent du marasme actuel de l'exécutif. Tous, sauf les centristes. Pourquoi ?
Bras de fer entre le directeur général de la BPI et sa nouvelle vice-présidente, Ségolène Royal. L'ancienne candidate à la présidentielle utilise déjà son aura médiatique. Mais est-ce pour le bénéfice de l'institution ou de son crédit personnel ?
L'affaire Cahuzac allonge la malédiction des affaires qui pèse sur les socialistes se réclamant d'une approche économique efficace et rigoureuse. Coïncidence, malveillance de l'entourage ou impossibilité structurelle de réussir à gauche en étant pragmatique ?
Interrogé par RTL vendredi sur les voix contestataires qui s’élèvent contre l'austérité au sein du gouvernement, Jean-Marc Ayrault a assuré : "Il n'y a qu'une ligne politique au gouvernement, il n'y en a pas deux".
Dans le grand roman de taxation des riches, le conseil d'Etat nous livre son dernier opus : l'impossibilité de dépasser un taux d'imposition de 66,66%. Retour sur le parcours politique d'une mesure phare qui hante les nuits de la majorité socialiste et du gouvernement.
Selon un sondage BVA/Parisien-Aujourd'hui en France Magazine, les Marseillais sont 40% à envisager "certainement" (18%) ou "probablement" (22%) de voter pour Bernard Tapie s'il est candidat aux municipales de 2014.
Jean-Louis Borloo affirme sans relâche depuis la création à l'automne dernier de l'Union des démocrates et indépendants que son parti n'est pas un clone de l'UMP.
Le Premier ministre doit trouver 32 députés et sénateurs pour obtenir les 3/5 au Parlement et ainsi inscrire le droit de vote des étrangers dans la Constitution. Son travail de conviction devrait se concentrer vers les centristes.
Alors que la Conférence Rio + 20 peine à promouvoir une définition claire des objectifs de développement durable, la notion de capitalisme vert est pointée du doigt. Sa dimension verte apparaît de plus en plus dépassée et elle ne serait finalement que du marketing.