Les membres de l'Union européenne se sont provisoirement mis d'accord jeudi sur un plafonnement du prix de pétrole russe transporté par voie maritime à 60 dollars le baril. Ces sanctions entraînent une inquiétude sur les marchés.
2 décembre 2022Le Réseau Atlantico
Best-Of du 2 au 8 novembre
Alexandre Baradez, 33 ans, diplômé de l'ESCE (Paris/La Défense) en 2003 a d'abord évolué plusieurs années chez BNPPARIBAS puis la Banque ROBECO en gestion privée avant de rejoindre SAXO BANQUE en 2009 en tant que Sales Trader. Son expérience des marchés financiers et plus particulièrement du marché des devises lui confère rapidement le rôle d’Analyste Marchés. Interlocuteur privilégié des médias français, il délivre quotidiennement des analyses sur les marchés financiers, tendances, risques macro-économiques et participe régulièrement à des conférences dédiées aux investisseurs. En novembre 2013, il rejoint le groupe IG, leader mondial des CFD, côté à Londres au FTSE 250, en tant que Chief Market Analyst.
Les membres de l'Union européenne se sont provisoirement mis d'accord jeudi sur un plafonnement du prix de pétrole russe transporté par voie maritime à 60 dollars le baril. Ces sanctions entraînent une inquiétude sur les marchés.
2 décembre 2022Depuis le début du conflit Russie / Ukraine, les prix des denrées alimentaires ont subi une forte hausse qui semble s'inverser. À quoi pouvons-nous nous attendre pour la suite ?
Le cours du blé a retrouvé son niveau d'avant l'invasion russe en Ukraine, fin février. Une tendance que l'on retrouve pour la plupart des matières premières.
La crise du Covid-19 et plus récemment la guerre en Ukraine ont provoqué de nombreux chocs, générant des difficultés d'approvisionnement de matières premières. Le manque de l'une d'entre elles pourrait avoir de lourdes conséquences au niveau mondial
S’il paraît contrintuitif de s’inquiéter pour un marché sur lequel les prix s’envolent, il ne faut pas mésestimer l’énorme impact déstabilisateur de la volatilité de ces mêmes prix sur des opérateurs dont une grande part de l’activité repose sur des paris à terme comme le révèle une lettre alarmiste de la Fédération européenne des négociants en énergie.
Le think tank américain Policy Uncertainty a publié un indice sur le niveau d'incertitude économique lié aux politiques économiques. L'incertitude évoquée ne se retrouve pourtant pas dans les indices de risques monétaires.
Les craintes d'une possible récession pour l'année 2020 resurgissent. Les grands groupes tentent de changer de stratégie d'investissement.
Les taux à trente ans de la Fed viennent de passer sous le niveau des Fed Funds. Cette baisse n'est pas propre au marché américain : elle a aussi lieu en Europe.
L'institut Markit vient de publier ses indices PMI. On note un fort ralentissement de l'Allemagne et une bonne résilience de l'économie française.
Au plus bas depuis 6 ans, la demande mondiale pour l'or est victime d'une succession de facteurs économiques et monétaires qui viennent influer son cours. Souvent présenté comme une valeur refuge, le cours de l'or dépend d'une multitude de facteurs et surtout de la volonté des différentes banques centrales.
L'élection présidentielle anticipée grecque se tient à partir du 17 décembre. La gauche radicale pourrait l'emporter et remettre en cause les engagements pris par la Grèce.
Selon le Global Financial Centres Index, Wall Street égalerait, voire dépasserait légèrement Londres comme place financière la plus performante. Qu'est-ce qui peut expliquer la renaissance de Wall Street, que l'on pensait moribonde ?
Pour Albert Edwards, responsable de la stratégie globale à la Société Générale, les marges des entreprises sont sous pression, situation qui pourrait annoncer un crash prochain sur les marchés actions.
Les établissements financiers sortent tous leurs prévisions pour l'année 2014. Chacun a sa propre vision de la saison à venir, même si un scénario global de stabilisation de la situation économique semble se dessiner.
Si les taux directeurs de la Fed et de la BoJ sont à zéro, Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne dont le taux à été abaissé à 0,5%, a menacé les banques d'un taux de dépôt négatif. Non sans conséquences.
Alors que la BCE poursuit sa politique de rigueur monétaire, la politique ultra-accommodante de la Banque centrale du Japon permets contre toute attente aux pays du sud de l'Europe de profiter de taux sur leurs dettes plus faibles une semaine seulement après sa mise en place. Voici pourquoi.
Amélioration de la conjoncture, apaisement des marchés financiers... Et si la BCE avait fait les bons choix en optant pour une politique non expansionniste, non conventionnelle et moins agressive que la Fed, aujourd'hui confrontée à un risque d'inflation et à la contraction de l'économie américaine constatée au dernier trimestre ?
De plus en plus de voix s'élèvent dans les milieux politiques américains pour mettre en place des mesures contre les économies qui dévaluent volontairement leurs monnaies pour baisser artificiellement le coût de leurs produits.
Après avoir indiqué qu'il fera "tout ce qu'il faut" pour sauver l'euro, Mario Draghi doit annoncer ce jeudi de nouvelles mesures décisives. Quels scénarios sont envisageables ?
La France a emprunté lundi 7,6 milliards d'euros à des taux négatifs. Le lendemain, la Belgique a suivi le mouvement ainsi que l'Allemagne qui a levé mercredi plus de 4 milliards d'euros à 2 ans. Mais en dépit des apparences, cette situation traduit surtout des tensions insoutenables pour la zone euro.