Contenus en rapport avec le mot-clé soumission

Le 1er novembre, comme chacun sait, c’est la Toussaint, fête solennelle chrétienne qui honore tous les saints comme son nom l’indique.

Le nouveau roman de Michel Houellebecq attendu en janvier s'intitule « Anéantir ». Le contenu reste secret. Après « Soumission » en 2015 et « Sérotonine » en 2019, ses deux derniers livres, les lecteurs pourront donc retrouver le tout nouveau projet littéraire de Michel Houellebecq dans quelques semaines, le 7 janvier 2022.

L’écrivain Michel Houellebecq a été annoncé mort hier, lundi 23 août, sur Twitter. Sa maison d’édition a démenti cette rumeur auprès de l’AFP. Son prochain ouvrage est attendu au début de l’année 2022.

Et aussi : Michel Barnier rêve de la présidentielle.

Interrogé sur les caricatures, le Premier ministre canadien a dit souhaiter un usage "prudent" de la liberté d'expression.

Michel Maffesoli met en lumière la ruse qui guide beaucoup de Français aujourd’hui, face à une classe politique essentiellement occupée à « communiquer » et à faire spectacle pendant que le pays décline. Cette ruse consiste à faire semblant d’obéir à un Etat qui ne remplit plus ses devoirs à l’égard du peuple.

L'un des derniers romans de Michel Houellebecq, "Soumission", sera bientôt adapté au cinéma. Le long-métrage sera réalisé par Guillaume Nicloux. L'acteur Jean-Paul Rouve va occuper le rôle principal.

L’interdit, c’est la liberté. Le bâillon, c’est la liberté. La soumission, c’est la liberté. Les nouveaux justes creusent une geôle sous nos pieds.

Le roman de Michel Houellebecq, sorti le jour de l'attentat de Charlie Hebdo, sera bientôt décliné en série télévisée par le réalisateur Guillaume Nicloux.

On s'est peut-être trompé sur " Soumission ", qui tenait plus du manuel à l'usage des théocrates ambitieux que du roman visionnaire. Exit "Frère Tariq", enter "monsieur Ramadan".

Invité de l'émission On n'est pas couché, l'écrivain Michel Houellebecq a rendu hommage au livre de Boualem Sansal, 2084 (Gallimard), qui décrit "un vrai totalitarisme islamique".

Le débat enfle : il faut faire ci, il faut faire ça. Il y a une autre solution : elle est chez Houellebecq.

Entre intérêt pour "la chose" et jouissance dans le classicisme, le succès en librairie et en salle de "50 nuances de Grey" vient battre en brèche certaines idées préconçues sur la sexualité des femmes.

On peut appeler ça comme on veut : peur, trouille, pétoche. Mais comme on a un peu honte, on préfère dire "pas d'amalgame".

Cependant l'auteur a expliqué que "Soumission" n'était en aucun cas un livre islamophobe.

Sous haute protection policière, l'écrivain présentera son livre ce lundi soir à Cologne.

Mais aussi l'interview "hors promo" de Houellebecq, la pétition des laïcs musulmans, l'unité de "désembrigadement" la Maison de la prévention et de la famille, le "problème Cazeneuve", la "solution Squarcini", la "préconisation Filiu", la drôle d'histoire du kiosquier de Cabu et Wolinski et, et, et... le mot de Régis Debray sur notre propre responsabilité !

Il est difficile, voire impossible, d'écrire une chronique culturelle raisonnée et de parler de coups de cœur, de points forts ou de points faibles en cette période d'horreur absolue qui frappe la France dans sa chair, dans son identité, dans ses valeurs, et pourtant il le faut : la France est debout, la liberté de penser, d'écrire, de dessiner, doit le rester ; la France est en état d'urgence, aujourd'hui même et... demain.

L'écriture de Houellebecq est celle de l'évidence et du ressenti au service d'un style "clinique", qui font de ce déraciné, ce désabusé, ce marginal, un grand de la littérature d'aujourd'hui.

Au lendemain de "l'attentat" perpétré au siège de "Charlie Hebdo", on a envie de tout, sauf de se coller à Houellebecq et à son livre. Va pourtant falloir se forcer.