« Avec Shakespeare, on se retrouve toujours autour d’une question simple et lancinante : par quoi est possédé cet être, qu’est-ce qui en lui le dépasse et par quoi il doit en passer ? Quel est son partenaire fantôme ou inconscient, avec lequel à son insu il est aux prises et joue la partie de sa vie ? », s’interroge Daniel Sibony dans son essai intitulé « Shakespeare, questions d’amour et de pouvoir » (Odile Jacob), publié ces jours-ci.
5 septembre 2022