La France comme le reste de l’UE font face à des défis majeurs si nous voulons sauver la phase de prospérité et de paix ouverte après 1945. Sauter comme un cabri en proclamant que l’Europe est en soi notre salut est aussi absurde que de le faire en proclamant qu’elle nous plombe. L’enjeu est de savoir, au bout de la logique, relever les défis que nous identifions.
25 avril 2024