Contenus en rapport avec le mot-clé PRISM

L'arrivée d'un des dirigeants historiques de Google au Pentagone et le lancement d'un Bug Bounty par ce dernier montrent la capacité des institutions américaines à saisir les enjeux de la cybercriminalité.

Étrange politique que celle qui consiste à crier au loup lors des révélations Snowden pour mieux "contrôler Internet" et bâtir une société sécuritaire, hors de tout véritable contrôle démocratique.

L'éditeur de logiciels de sécurité Symantec a annoncé dimanche 23 novembre avoir découvert le malware Regin, mis en place depuis 2008 et qui pourrait bien être l’œuvre commune de plusieurs États. Parmi les suspects, les États-Unis, Israël et même la France.

Selon le groupe, les autorités américaines l'auraient menacé d'une amande de 250 000 dollars par jour, dans le cadre du programme de surveillance PRISM instauré par la NSA.

En vertu d'un accord de non-espionnage de longue date, le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande ne faisaient pas partie de la liste, a révélé le Washington Post mardi 1er juillet.

C'est ce qu'a révélé ce mardi le Washington Post qui s'appuie sur des documents envoyés par Edward Snowden, l'homme par qui le scandale est arrivé.

La NSA serait en train de construire un "super-ordinateur" capable de briser n'importe quel code, et pourtant plus grand monde ne semble s'en inquiéter.

L’ancien consultant de la NSA a accordé sa première interview en tête à tête à un journaliste du Washington Post.

Ce lundi, une délégation américaine se rendra à Berlin pour discuter de l'affaire des "grandes oreilles de la NSA". Un scandale dont les pots cassés coûteront probablement plus chers aux États-Unis que les bénéfices tirés de l'espionnage.

Suite au scandale des écoutes de la NSA, de nombreux acteurs veulent confier la gestion d’internet, la définition de ses règles et la supervision de son contenu aux Etats.

L'Allemagne est en possession d'informations laissant penser que le téléphone portable de la chancelière aurait été placé sur écoute par l'agence de renseignements américaine.

Le nouvel iPhone est équipé d'un système de reconnaissance digitale. Ou quand Apple crée sans le vouloir une banque de donnée pour le compte de la NSA.

La dernière alerte lancée par Edward Snowden sur les capacités d'écoute de la NSA n'a pas fait grand bruit dans l'Hexagone. Un début de lassitude que l'on doit regretter en vue des enjeux démocratiques et économiques liés à cette affaire.

L'agence américaine a espionné en 2010 des représentations diplomatiques françaises à New York et à Washington, selon un document interne datant de juin 2010 et classé "très secret".

Les révélations sur le programme Prism ont lancé une nouvelle mode : les cryptoparties. Ces ateliers permettent d'apprendre à protéger ses données et ses communications.

Deux associations de défense des droits de l'Homme ont porté plainte.

Elle a forcé l'accès au système de vidéo-conférence interne des Nations unies, a rapporté dimanche l'hebdomadaire allemand Der Spiegel.

L'administration Obama a admis que l'Agence de sécurité nationale a recueilli "par inadvertance" des mails d'Américains.

Les autorités de protection des données de chaque pays de l'UE exigent des précisions sur la nature du programme d'espionnage américain.

Après la polémique déclenchée par les révélations d'Edward Snowden, le président américain a promis vendredi des réformes dans la surveillance des communications, mais a démenti tout abus.