Contenus en rapport avec le mot-clé printemps arabe

Il y a dix ans, Abdel Fattah al-Sissi demandait aux Egyptiens un « mandat » pour les sauver du « terrorisme ». Quel bilan tirer de l'action du dirigeant égyptien en cette date anniversaire ?

Plus de dix ans après les révoltes populaires du printemps arabe, force est de constater que la démocratie n'a pas su s'implanter dans les pays concernés

Alors que la planète n'a jamais été aussi interconnectée sur le plan alimentaire, le confit russo-ukrainien pourrait avoir de très lourdes conséquences pour la sécurité alimentaire mondiale, remettant en cause la stabilité politique de certains pays

Depuis les printemps arabes de 2011, les relations internationales au Proche-Orient ont été bouleversées.

Dix ans après la série de révoltes dans les pays arabes, de la Tunisie à la Libye, quel bilan tirer de ce mouvement ? Dov Zerah décrypte la situation politique et économique de la Tunisie.

Farid Alilat publie « Bouteflika. L’histoire secrète » aux éditions du Rocher. La vie de Bouteflika est un roman à rebondissements. Ancien combattant, député, ministre, exilé, président, il aura tout connu du système politique algérien. Ce livre raconte les étapes d'une vie guidée par deux obsessions : conquérir le pouvoir et le garder à tout prix. Extrait 1/2.

Lina Ben Mhenni avait dénoncé les dérives du régime de Ben Ali et du pouvoir en Tunisie depuis le renversement du dirigeant en 2011.

A l'occasion de la fin de l'année 2019, Atlantico a demandé à ses contributeurs les plus fidèles de s'interroger sur l'année à venir. Jean-Bernard Pinatel revient sur le Printemps arabe à cette occasion.

Les pays « arabes » nous ont accoutumé ces dernières années à de fougueuses ruées contre les systèmes politiques établis, suscitant à la fois un espoir dans un futur meilleur et une admiration pour ces populations souvent très jeunes prêtes à « porter » le changement avec force d’exemplarité civique et de dignité.

Les réseaux sociaux, lieux de tous les combats dans le sillage des Printemps arabes, sont désormais mieux appréhendés par tous les acteurs du spectre politique.

A première vue on pourrait se tromper, mais cette affaire n'a, si on regarde plus près, rien à voir avec celles qui lancèrent les révoltes démocratiques en Tunisie en 2010.

Parmi les ouvrages sur l'État islamique, voici le premier à décrypter l'incroyable pouvoir de persuasion qui amène des milliers d'hommes à tuer ou à mourir pour un califat mythique. Implanté sur sa terre sacrée, il attire des "foreignfighters" du monde entier et souvent leur famille. (Extrait de "Daesh : L'arme de la communication dévoilée" de François-Bernard Huyghe, publié aux Editions VA Press 2/2)

Taux de chômage des jeunes de moins de 25 de 30%, réserves de trésorerie en chute libre... Ces difficultés économiques menacent sérieusement la paix sociale en Arabie Saoudite et le pays n'est pas à l'abri du chaos.

L'ONG Transparency Watch a mené une enquête auprès de 10 797 adultes vivant au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

Extrait de "Danser sur un volcan" de Nicolas Baverez, aux éditions Albin Michel 2/2

Les phénomènes météorologiques extrêmes sur le bassin méditerranéen ont beaucoup varié au cours des neuf derniers siècles, mais les deux dernières décennies sont les pires. Et la sécheresse agricole est l'une des causes du drame syrien.

Le 14 janvier 2011, Zine El-Abidine Ben Ali était contraint de fuir en Arabie saoudite suite au soulèvement du peuple tunisien. Si le bilan des printemps arabes est un échec pour certains pays et reste mitigé pour d'autres, des éléments rendent compliqué le fonctionnement d'une démocratie pluraliste.

Tunisie, Libye, Egypte, Syrie, Ukraine : ces cinq Etats ont accouché, à partir de 2011, de mouvements "révolutionnaires" qui devaient tous transformer leur pays et améliorer la situation.

Michael Morell, ancien directeur adjoint de la CIA raconte, dans un livre paru ce 12 mai, les erreurs commises par le renseignement américain dans la lutte contre Al-Qaïda et son chef Oussama ben Laden.

L'ex-Premier ministre a remporté le scrutin avec 55,68% des voix, devant le président sortant Moncef Marzouki.