Contenus en rapport avec le mot-clé pédocriminalité

L'intelligence artificielle est utilisée pour générer des contenus de nature pédocriminelle, mais également à des fins d'extorsion contre des adolescents, alerte Europol.

Séisme politique en Hongrie : la présidente hongroise, Katalin Novák, vient d’annoncer sa démission ce samedi 10 février 2024. Récapitulatif.

Malgré des échanges relevant parfois de l'illégalité, le site de rencontres « Rencontre Ados » reste lui bel et bien dans les clous d'un point de vue juridique.

Les évêques de France ont décidé de « reconnaître la responsabilité institutionnelle de l'Eglise » dans les agressions sexuelles subies par des milliers de victimes et la « dimension systémique » de ces crimes. « Cette responsabilité entraîne un devoir de justice et de réparation », selon Eric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France.

Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, s'est exprimé sur le secret de la confession après avoir reçu le président de la Conférence des évêques de France, Mgr Eric de Moulins-Beaufort, ce mardi. Les prêtres doivent dénoncer les faits "à la justice", selon Gérald Darmanin.

Selon les conclusions de la commission Sauvé, 330.000 enfants ont été abusés entre 1950 et 2020 par des clercs ou des laïcs. L'Eglise a décidé de mener un important travail sur ce dossier. Cette mission et la rapport Sauvé pourraient permettre d'agir dans d'autres domaines comme au sein de l'Education nationale ou dans les clubs sportifs.

Le chef de l'Etat estime que l'élan de transparence lié à la publication du rapport Sauvé doit être pérennisé car "il y a un besoin de vérité et de réparation" pour la société française dans la cadre de la lutte contre la pédocriminalité et pour venir en aide aux victimes.

Le pape François a réagi à la publication du rapport Sauvé sur la pédocriminalité dans l’Eglise. Il a exprimé son "immense chagrin" et espère que l’Eglise de France entreprendra "la voie de la rédemption".

Les évêques français promettent une « contribution financière » pour les victimes. La Conférence des évêques de France a précisé que l'Eglise souhaite « assumer sa responsabilité ».

L'homme, décédé en 2008, est mis en cause par trois femmes de sa famille.