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Ce pays africain accueille près de 400 forces spéciales françaises. Le Burkina Faso exige le départ de l'armée française d'ici un mois, selon un porte-parole.

Après un deuxième coup d'État militaire en moins d'un an au Burkina Faso, les rues de Ouagadougou ont vu fleurir des drapeaux russes. Des slogans contre la présence française ont également été entendus.

C’est sûr que Zelensky commence à trembler.

Huit assaillants auraient également été abattus, selon une source sécuritaire française.

Le ministre de la Défense burkinabé a parlé d'une "attaque terroriste visant l’état-major et l’ambassade de France".

Lors d'un discours fleuve au Burkina Faso ce mardi, Emmanuel Macron a proposé une vision rénovée des relations entre la France et l'Afrique, et indiqué notamment qu'"il n'y a plus de politique africaine de la France".

Le Président Emmanuel Macron a affirmé à la jeunesse africaine sa volonté de "peser ensemble sur les grands déséquilibres du monde".

Le discours du 28 novembre donné à l'Université de Ougadougou a été suivi d'une séance de questions-réponses mémorable : extraits.

Le bilan provisoire fait état d'au moins 18 morts et une dizaine de blessés. Un Français se trouve parmi les victimes.

La jeune femme de 33 ans avait été blessée par balles vendredi soir dans l’attaque terroriste qui a frappé la capitale du Burkina Faso.

Le samedi 16 janvier, l'AQMI attaquait le Burkina Faso, frappant Ougadougou. L'attentats a fait moins 29 morts, dont au moins deux français. Les conflits en Syrie et en Irak ne sont pas les seuls à compter leurs terroristes : en Afrique subsaharienne, les groupes islamistes sont légions.

Au moins 29 personnes ont perdu la vie dans l'attaque terroriste perpétrée vendredi soir au Burkina Faso par le groupe Al-Mourabitoune.

Le groupe Al-Mourabitoune, proche d'Al-Qaïda au Maghreb islamique, a revendiqué l'attaque d'un hôtel et d'un restaurant très fréquentés par des occidentaux.

Des centaines de milliers de Burkinabés protestent ce jeudi contre une révision constitutionnelle qui permettrait au président Blaise Compaoré, au pouvoir depuis déjà 27 ans, de briguer un cinquième mandat.