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A un mois de l'élection présidentielle en Iran, seuls sept candidatures sur 600 ont été jugées conformes par le Conseil des Gardiens. Aucun candidat réformateur majeur ne s'y trouve.

Un colloque international a été organisé pour dénoncer cet horrible complot. Vous pouvez encore vous y rendre.

Réfléchissant en termes de gains et de pertes sur le plan électoral, les Iraniens préfèrent le maintien de leur système politique tel qu'il est actuellement, plutôt que de le faire voler en éclats, au profit d'une instabilité particulièrement dangereuse dans un Moyen-Orient hostile à l'Iran chiite.

Les questions économiques (et derrière elles, celle de l'ouverture ou de la fermeture) seront au cœur de la présidentielle iranienne qui verra s'affronter six candidats, parmi lesquels le président sortant, Hassan Rohani.

Après la mort de Ben Laden, l'Occident se cherche un nouvel ennemi commun. Une quête absurde à l'heure de la mondialisation ?

En avril, la Cour suprême américaine a décidé la saisie de près de 2 milliards de dollars de fonds iraniens actuellement gelés à New York.

Depuis le rapprochement entre l'Iran de Rohani et l'Amérique d'Obama, les cartes stratégiques sont totalement rebattues au Moyen et Proche-Orient, voire dans les pays du golfe persique. En revanche, l'Islam sunnite est devenu un danger, en témoignent les visées hégémoniques de l'Etat islamique. L'Occident a dont tout intérêt à s'appuyer sur Téhéran pour combattre le groupe terroriste. Extrait de "Iran, le sens de l'histoire" d'Ardavan Amir-Aslani, aux éditions du Moment. 1/2

L’État islamique a du mal à gérer nos djihadistes, dont les incivilités et l'indiscipline perturbent le bon déroulement de l'instauration du califat mondial. Les touristes français à l'étranger, vraiment, quelle plaie...

L'élection d'Hassan Rohani a créé la surprise en Iran. Il est présenté comme un « religieux modéré » par la presse occidentale.

En raison de l’affluence, les bureaux de vote sont restés ouverts plus tardivement que prévu.

Les Iraniens sont appelés aux urnes le 14 juin, pour élire un successeur au président Ahmadinejad, qui ne peut briguer un troisième mandat selon la Constitution.

L'appareil du président iranien a dû effectuer un atterrissage d'urgence dans une région montagneuse au nord de Téhéran.

L'élection présidentielle de 2013 en Iran aura lieu dans un contexte économique et social qui n'a jamais été aussi tendu. Pour Ardavan Amir-Aslani, ce scrutin est pourtant la clé de la paix au Proche-Orient. Extrait de "Iran et Israël Juifs et Perses" (2/2).

La qualité des rapports entre les États et les peuples caractérise les relations entre Téhéran et Jérusalem portées par un contexte et une volonté. Ardavan Amir-Aslani explique que si cette aspiration existe toujours au niveau des peuples, le blocage vient d'Ahmadinejad et de Netanyahou. Extrait de "Iran et Israël Juifs et Perses" (1/2).

Un agent des services secrets était en train d’ajuster son arme quand une balle est malencontreusement partie toute seule…

Alors que les médias ne cessent de commenter la problématique soulevée par le nucléaire iranien, on semble ignorer les luttes internes entre pouvoir religieux et pouvoir politique à Téhéran alors que cette question est centrale pour expliquer la politique étrangère du pays. Atlantico a demandé son avis à Thierry Coville.

Le président iranien n'a pas été très chaleureusement accueilli lors d'un voyage politique au Caire.

Les autorités iraniennes ont triomphalement annoncé la dernière découverte de leurs savants : une scie électrique pour découper les membres. Cela s'appelle le progrès technologique.

Zahra Eshraghi a expliqué dans une interview que "l'Iran est au bord du précipice ".

Ehud Barak, ministre de la Défense israélien, a fait sensation en déclarant dans une interview accordée au Daily Telegraph que l'Iran avait abandonné sa quête de la bombe nucléaire.