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Ibrahim Aqil a été tué ce vendredi dans une frappe sur la banlieue sud de Beyrouth, selon une source proche du Hezbollah.

« Rien, aucune aventure régionale, aucun intérêt privé, aucune fidélité à quelque cause que ce soit ne mérite de déclencher un conflit au Liban », a déclaré Emmanuel Macron, dans une vidéo publiée sur X hier soir.

L’opération bipers menée au Liban contre les hommes du Hezbollah pourrait bien marquer l’entrée dans une toute nouvelle phase du conflit ouvert par les massacres du 7 octobre.

Les appareils ont explosé ce mercredi dans la banlieue sud de Beyrouth, ainsi que dans le sud et l'est du Liban, faisant au moins trois morts. Ces explosions font suite à celles de bipeurs la veille, qui ont fait au moins 12 morts et blessé près de 2800 personnes.

Alors qu’Israël ne cessait de perdre en influence et d'accumuler les ennemis dans le reste du monde, l’Etat hébreu tire-t-il son épingle du jeu militairement face à ses principaux rivaux dans la région ?

Le Hamas a salué l'attaque d'envergure que le Hezbollah libanais a mené dimanche contre des positions israéliennes.

Emmanuel Macron a multiplié les contacts avec les dirigeants du Moyen-Orient afin d'empêcher une escalade dans la région. La France ne parvient pas à jouer un rôle dans la crise entre le Liban et Israël.

Il y a quatre ans, le 4 août 2020, la ville de Beyrouth était littéralement soufflée par une terrible explosion. Le bilan fut lourd : plus de 220 morts et 6500 blessés.

Les Français en Iran « sont appelés à (...) faire preuve de la plus grande vigilance », selon le Quai d’Orsay.

L'Iran a promis de venger la mort de Ismaïl Haniyeh et de Fouad Choukr. Le régime iranien a prévenu que le Hezbollah devrait frapper Israël en « profondeur » et « ne pas se limiter aux cibles militaires ».

La mort d’adolescents israéliens visés par le Hezbollah sur le plateau du Golan remet la question de la guerre du Nord en pleine lumière.

On ne vous a rien dit du massacre d’enfants israéliens par le Hezbollah ce week-end ? Pas de panique : vous saurez tout de la « réponse disproportionnée » qui lui sera apportée.

L'armée israélienne accuse le Hezbollah d'être à l'origine du tir. L’organisation libanaise réfute être à l’origine du tir.

Le premier ministre israélien souhaite «rétablir la sécurité» à sa frontière nord, où des tirs avec le mouvement libanais Hezbollah sont quotidiens.

La milice chiite libanaise n’a cessé d’intensifier ses tirs quotidiens de missiles sur le Nord de l’Etat hébreu

Aussi à la Une de vos hebdos cette semaine : Salman Rushdie donne les bonnes feuilles de son dernier livre en exclusivité au Nouvel Obs…, qu'on retrouve aussi dans Télérama. Il raconte dans Le Couteau l’attentat perpétré contre lui au nom de la fatwa lancée par l’Iran. Pour l’Express, Poutine sort vainqueur de l’affrontement Israël-Iran.

Vu de loin, le conflit israélo-palestinien est souvent perçu comme celui du fort contre le faible. Dans l’environnement géopolitique qui est le leur, les Israéliens, eux, ont une perception totalement différente. Et n’avaient pas eu aussi peur pour la survie même de leur État que depuis 1967.

Ce samedi 6 janvier 2024, le Hezbollah libanais a revendiqué le tir d’une dizaine de roquettes sur une base militaire israélienne. Ce qu’il faut savoir.

Le chef du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, a averti vendredi de l'éventualité « d'une guerre totale », soulignant que « toutes les options » étaient sur la table concernant le front libanais avec Israël.

La communauté internationale redoute une extension du conflit entre le Hezbollah libanais pro-iranien et l'armée israélienne.