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La Fondation pour l'enfance a lancé une campagne d'affichage sur les "violences éducatives ordinaires", proscrites depuis 2019 par une réglementation surnommée la "loi anti-fessée". Or, cette interdiction peut avoir un impact négatif sur la façon dont les parents gèrent leurs enfants.

Le Docteur Maurice Berger, pédopsychiatre et professeur associé de psychopathologie de l'enfant, devait être interrogé par Madame Marie-Pierre de la Gontrie, rapporteure de la commission des lois du Sénat, à propos de la proposition de loi sur l'interdiction des violences éducatives ordinaires. Suite à l'annulation de son audition, Atlantico publie ses réponses par écrit aux questions posées par la rapporteure.

L'interdiction des violences éducatives ordinaires a été définitivement adoptée par le Sénat hier, et rappelle que la normalisation de la vie privée par l'Etat devient monnaie courante.

Un enseignant d'Eaubonne s'est donné la mort après avoir été accusé d'avoir violenté un de ses élèves. Le ministre de l'Education a dénoncé une judiciarisation de l'école.

Les processus violents s’inscrivent tôt chez l’enfant. C'est pourquoi il faut se donner les moyens d’intervenir sur les conditions qui favorisent l’apparition de ce trouble, et ce dès la petite enfance.

Selon Le Parisien, près de 85 % des parents déclarent avoir recours à ce châtiment pour éduquer leurs enfants.

L’Assemblée nationale a adopté dans la nuit un amendement au projet de loi égalité et citoyenneté visant à abolir la violence faite aux enfants.

La vidéo a été publiée par le People's Daily China, média du parti d'Etat chinois.

Le think tank Demos a observé un meilleur développement des compétences sociales chez les enfants élevés dans la fermeté.

La question de la fessée, qui revient régulièrement dans l'actualité, se pose à nouveau après la très probable condamnation de la France par la Conseil de l'Europe. L'instance reproche à la France de ne pas avoir gravé dans le marbre l'interdiction des châtiments corporels. Cette question relance une nouvelle fois le débat sur la relation entre sanctions et éducations.

Selon Le Monde, la décision, purement symbolique, sera rendue publique mercredi 4 mars.

Le souverain pontife a expliqué mercredi qu'un père peut "corriger" son enfant et qu'une fessée peut être "juste".

Ce lundi 19 mai, l'amendement "anti-fessée" a été exclu de la loi famille. Le gouvernement promet néanmoins d'y revenir dans une prochaine loi.

Au fil des décennies, la gifle, la fessée et les heures de colle sont devenues politiquement incorrectes. Aujourd'hui proscrite au profit d'une déresponsabilisation totale, la punition n'est-elle pas pourtant le préalable à une justice véritablement juste ? Extrait de "Apologie de la punition", Emmanuel Jaffelin, éditions Plon (2/2).

Au fil des décennies, la gifle, la fessée et les heures de colle sont devenues politiquement incorrectes. Aujourd'hui proscrite au profit d'une déresponsabilisation totale, la punition n'est-elle pas pourtant le préalable à une justice véritablement juste ? Extrait de "Apologie de la punition", Emmanuel Jaffelin, éditions Plon (1/2).

L'homme a été condamné à 500 euros d'amende. Le débat est relancé, notamment sur les réseaux sociaux.

Avec le succès de la série érotique et sado-maso "50 nuances de Grey" c'est tout un pan de la sexualité qui a fait son apparition sur le devant de la scène : fessées, cravaches ou boules de geisha, quelles sont les pratiques des Françaises ? Et quelle a été l'influence du de la série sur la "consommation sexuelle" des femmes ?

La nouvelle campagne télévisée contre les "violences éducatives ordinaires", diffusée à partir du 22 juin, veut convaincre que claques et fessées peuvent avoir des conséquences néfastes sur les enfants.

Les punitions corporelles pourraient même augmenter les problèmes d'alcool ou de drogue.

Malgré la tendance du « paternage » et des « papas poules », force est de constater que des enfants de plus en plus jeunes se retrouvent seuls avec leur mère. Edwige Antier cherche à alerter sur la souffrance des jeunes enfants qui n’ont parfois pas encore la possibilité de dire avec des mots « Il est où mon papa ? » (Extrait 1/2).