Abolir la prostitution, mais autoriser la GPA. Supprimer la différence des genres, mais exiger l’égalité des fonctions. Réclamer l’abolition de la maternité, mais accepter l’imposition du voile. Se proclamer progressiste, mais enchaîner la condition féminine au marché… Soixante-dix ans après Simone de Beauvoir, Eugénie Bastié dévoile ici la misère du néo-féminisme contemporain. Extrait de "Adieu mademoiselle", publié aux éditions du Cerf (2/2).
10 avril 2016