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Plus d'une dizaines de combattants, membres de l'organisation "Les signataires par le sang", auraient menées ces attaques conjointement avec le Mujao

Abou Zeid, l'un des chefs d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a été tué fin février par les forces françaises au Nord du Mali.

L'Elysée a confirmé ce samedi qu'Abou Zeid a bien été tué lors des opérations menées par les armées française et tchadienne au nord du Mali.

Alors que preuves et déclarations concordantes s'accumulent, le silence de Jean-Yves Le Drian sur la mort des deux plus importants chefs djihadistes du Sahel semble révéler une stratégie toute particulière.

La guerre au Mali s'enlise, les djihadistes ne démordent pas mais les armées françaises et tchadiennes avancent. La guerre est aussi vieille que l'humanité mais ses visages sont multiples.

Un représentant d'Al Qaïda au Maghreb islamique a confirmé à l'agence Sahara Médias la mort d'un de ses chefs, Abou Zeid, tué par un bombardement aérien français. Mais a démenti celle de Mokhtar Belmokhtar.

La France craint que des otages français aient pu être tués durant les combats.

Abou Zeid, l'un des principaux chefs d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), serait mort vendredi lors de combats au nord du Mali, selon le président tchadien Idriss Déby. Un décès non confirmé par Paris, mais qui aurait un fort impact sur l'organisation terroriste.

La mort du chef d'Aqmi, Abou Zeid, lors d'un bombardement n'a toujours pas été confirmée.

Le président du Tchad a déclaré vendredi soir qu'Abou Zeide, l'un des principaux chefs d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a été tué par ses troupes.

François Hollande s'est refusé à confirmer l'annonce de la mort d'Abou Zeid. Des tests ADN ont été pratiqués en Algérie afin de confirmer sa mort.

Plusieurs sources indiquent qu'Abou Zeid, spécialistes des prises d'otages, serait mort jeudi après-midi.

Six otages français détenus au Mali par Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) sont menacés de mort dans un message présumé de ce mouvement. Deux ans après leur capture, leur salut pourrait venir du Burkina Faso, qui s'est lui aussi engagé dans des pourparlers avec les ravisseurs.