reserche
Politique15 juin 2011
Portrait de Mohamed Bouazizi devant sa mère en larmes.
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Conte arabe de printemps

Révolution tunisienne : il était une fois la gifle...

Le printemps arabe aurait été déclenché par la gifle assénée par Fayda Hamdi, une policière, à Mohamed Bouazizi, un jeune diplômé sans emploi de la ville tunisienne de Sidi Bouzid qui s'était ensuite immolé par le feu. Il semblerait en fait que la gifle n'ait jamais été donnée et que le diplômé ne l'ait pas été. Décryptage d'un story-telling révolutionnaire ultra efficace.

Révolution tunisienne : il était une fois la gifle...