International4 juin 2018
Les animaux
Trafics d’ivoire : pourquoi le capitalisme pourrait sauver les éléphants
Le 30 mai, plus de 600 kilos d’ivoire ont été consciencieusement détruits à Antibes. Il ne s’agissait pas d’une erreur ni d’une malveillance, mais bien d’un acte délibéré mené par le Fonds International pour la Protection des Animaux (IFAW) et par l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS), tout heureux de d’accomplir ici "un geste fort en faveur de la protection des éléphants", comme le relate un Monde tout frétillant.
Trafics d’ivoire : pourquoi le capitalisme pourrait sauver les éléphants
avecHash H16