Economie3 avril 2014
Bonneteau bruxellois
TINA (there is no alternative)... ou en fait, si ? Examen des marges de manœuvre réelles du gouvernement face aux contraintes budgétaires et réglementaires de l'économie française
A peine Manuel Valls nommé à Matignon, l'Europe a rappelé à l'exécutif français ses engagements et rafraîchi les ardeurs françaises quant à l'obtention d'un nouveau délai sur la réduction du déficit à 3% du PIB. Dans un tel contexte, Paris n'a plus que trois options. Laquelle la nouvelle équipe aux affaires, dont on connaît le penchant pour des relations musclées avec Bruxelles, choisira-t-elle ?