Histoire15 janvier 2012
Un an après la chute de Ben Ali
Le romantisme révolutionnaire des printemps arabes a accouché de gouvernements conservateurs et frileux
Le succès des islamistes en Tunisie, en Egypte ou en Libye fait craindre aux Occidentaux l'arrivée de dictatures religieuses pires que les régimes autoritaires destitués. Mais il s'agit plutôt d'un chemin vers une démocratie identitaire, d'autant que les islamistes en question ne préconisent pas de ruptures radicales.
Le romantisme révolutionnaire des printemps arabes a accouché de gouvernements conservateurs et frileux
avecVincent Geisser