International22 mars 2011
Peine perdue
Kadhafi : parce qu'il le valait bien...
Il n’y a pas que les stars hollywoodiennes ou les marques grand public qui travaillent leur image : les dictateurs aussi se paient les services de grandes agences de relations publiques. Pour le colonel libyen, c'était une agence britannique. Des millions investis pour un échec...
Kadhafi : parce qu'il le valait bien...
avecEtienne Augé