Economie24 septembre 2012
Excuse facile
La "dictature des marchés financiers", un bon alibi pour un gouvernement pieds et poings liés par ses propres contradictions
La ratification du Traité de stabilité européenne devrait intervenir début octobre. Hollande n'en voulait pas, une partie de la gauche s'y oppose. Pour faire diversion, le Premier ministre évoque "la dictature des marchés financiers". Mais ce ne sont pas les marchés qui limitent les marges de manœuvre du gouvernement, plutôt ses errements originels.
La "dictature des marchés financiers", un bon alibi pour un gouvernement pieds et poings liés par ses propres contradictions
avecBruno Bertez